Holdice écrit: C'est ennuyeux pour la logistique mais l'important est que les courses peuvent continuer
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vieborg écrit: Non mais faut se calmer... Qu'est-ce que l'on a faire que les courses ne se déroule ni à Vincennes, Enghein, Auteuil, St Cloud ou Chantilly... Etant à huit clos cela n'a aucune espèce d'importance !!!!
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TorontoPat écrit:
vieborg écrit: Non mais faut se calmer... Qu'est-ce que l'on a faire que les courses ne se déroule ni à Vincennes, Enghein, Auteuil, St Cloud ou Chantilly... Etant à huit clos cela n'a aucune espèce d'importance !!!!
La piste peut-être ?
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JORKY77 écrit:
TorontoPat écrit:
vieborg écrit: Non mais faut se calmer... Qu'est-ce que l'on a faire que les courses ne se déroule ni à Vincennes, Enghein, Auteuil, St Cloud ou Chantilly... Etant à huit clos cela n'a aucune espèce d'importance !!!!
La piste peut-être ?
Un truc comme ça, oui.
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Un questionnaire fin mars pour évaluer la crise
La gouvernance « Filière Cheval » a élaboré un questionnaire, avec l’appui technique de l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE), qui a permis de mesurer l’impact économique de cette crise sanitaire sur l'ensemble des secteurs du monde du cheval. Et partout les pertes sont importantes.
En France, la perte d'activité économique tous secteurs confondus s'élève à 35%. Pour la filière equine, la pandémie a eu des conséquences graves.
Au-delà des pertes directes de revenu, il est indispensable d'analyser les effets sur la filière de la production à l'utilisation. Combien aura-t-on de juments saillies en moins, quelles seront les évolutions des modes de consommation sur le PMU etc...
Des pertes immédiates considérables jusqu'à 50 % au galop et 80% au trot
Les premiers résultats font état d'une lourde perte du chiffre d'affaires cette année par rapport à 2019 pour les professionnels de la filière équine. Les premiers effets du confinement en mars ont généré une perte du C.A de 35 à 50% au début de la crise. Cette perte augmente considérablement ensuite et atteint 50% pour les entraineurs de galop jusqu'à 80% chez les entraineurs de trot. Une large majorité d'entreprises font également face à une valeur ajoutée négative compte tenu de charges maintenues à un niveau élevé.
Un fonctionnement adapté à la situation
Face à la perte de trésorerie engendrée par l'absence de dotation/gain et à l'arrêt du commerce, les professionnels ont du adapter leur mode de fonctionnement. Si une majeure partie de l'effectif des chevaux a été mis au pré afin de limiter les charges (alimentation, litière et maréchalerie), certains professionnels ont également opté pour le maintien du travail d'une part de leur effectif pour permettre une reprise d'activité immédiate. Le recours au chômage partiel et les démarches de report de charges ont aussi été mis en évidence.
L'étude n'est pas terminée, elle se poursuit durant les prochaines semaines
Près de 2430 réponses ont été valorisées pour cette synthèse qui présentent des premiers résultats bruts. Les indicateurs moyens collectés en mars-avril seront complétés pour le mois de mai et juin, pour estimer l’impact total de cette crise inédite du Covid 19 sur l’ensemble de la période de confinement. Les autres activités de la filière équine impactées sur l’ensemble de l’année seront également considérées dans la suite de l’étude.
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