A voir ou à revoir : des chevaux & des hommes ....

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L'histoire de DNA : Godolphin Arabian le roi des boute-en-train
06/12/2019 - Grands destins

L'un des 3 étalons fondateurs de la race du pur-sang, dont le nom a été repris par Cheikh Mohammed Al Maktoum pour son écurie, Godolphin Arabian a connu un destin rocambolesque à travers l'Arabie et l'Europe. Avant de devenir reproducteur, il a fait cheval de carriole et...souffleur !





L’accident se transforma onze mois plus tard en un splendide poulain, très distingué et élégant, qui fut baptisé Lath et qui devint tout simplement le meilleur coursier anglais depuis le Champion Flying Childers. Vainqueur des Newmarket Great Stakes et d’un match devant Little Partner sur 6400 m à 5 ans avant de terrasser le Champion Squirt dans un autre Match sur 6400 m l’année suivante, ses exploits offrirent à son géniteur Godolphin Arabian son premier titre de tête de liste des pères de gagnants. Et le souffleur devint ainsi officiellement un étalon…

Et quel étalon, puisqu’il se classa à nouveau tête de liste des pères de gagnants en 1745 et en 1747, concevant volontiers des chevaux de très grande classe. De sa production riche de 118 foals émergent trois étalons de très grande influence qui pérennisèrent son sang : Regulus, 8 fois tête de liste en GB et père de mère du Légendaire Eclipse ; Blank, 3 fois tête de liste ; et Cade, fils de Roxana et donc propre frère de Lath, qui décrocha 5 titres de tête de liste et qui restera à la postérité pour avoir conçu le patriarche Matchem…





Godolphin Arabian, dont l’ADN représente aujourd’hui plus de 14% de la base génétique de nos pur-sangs contemporains, est né aux alentours de l’an 1724 au Yemen. Il était d’origine arabe pure mais le General Stud Book, l’ayant confondu avec le cheval Brown Western Barb, le déclara d’origine barbe de race Jilfan.



Selon la Légende relatée par Eugène Sue en 1838, il aurait transité en Syrie puis en Tunisie avant d'être offert parmi neuf chevaux orientaux au roi Louis XV de France par le Bey de Tunis, Empereur du Maroc. Peu après, le gentleman anglais Edward Cook l'aurait découvert tirant un fiacre dans les rues de Paris (il aurait alors été utilisé comme porteur d'eau !), avant de l'importer en Angleterre.

Son passage en France fut attesté par le Vicomte de Manty, qui le décrit comme étant un cheval d'une grande beauté, très bien fait et d'un tempérament affirmé et très difficile. Il répondait alors au nom de "Shami".


Après son transfert en Angleterre en 1729 (ou en 1730 selon les sources), Edward Cook le stationna dans son haras à Longford Hall (Derbyshire) où il fut alors connu sous le nom de "yeArabian". Mr Roger Williams le récupéra suite au décès de Edward Cook, puis le céda à son tour à Lord Godolphin qui l'intégra dans son haras à Gog Magog, près de Babraham (Cambridgeshire), où il fit la monte jusqu'à sa disparition le soir de Noël 1753, alors âgé de 29 ans.





Deux siècles et demi plus tard, le 4 mars 2011 pour être précis, un souffleur répondant au nom de Tiberius Caesar se prit pour Godolphin Arabian et ne put se priver des joies d’honorer la ravissante Toamasina, qui ne lui était pourtant pas destinée. Une union accidentelle mais bénie des Dieux qui donna le jour à Tiberian, triple gagnant de Groupe dont le Grand Prix de Deauville (Gr.2) !!!


On raconte, dans les travées des hippodromes, que pour obtenir une saillie de Tiberius Caesar il suffisait alors de s’armer d’une caisse de bon vin et de laisser un pourboire au Stud Groom. Quoi qu’il en soit, l’ex-souffleur Tiberius Caesar est aujourd’hui un étalon digne de ce nom, qui plus est stationné au Logis, le haras français qui abrite les sires ayant fait carrière sous les couleurs de l’écurie … Godolphin !

"all we are:just a dust in the wind"
Merci pour ce message de la part de : isa_, Anniec
21 Déc 2019 16:06 #11
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"all we are:just a dust in the wind"
23 Déc 2019 19:34 #12

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Réponse de vieborg sur le sujet A voir ou à revoir : des chevaux & des hommes ....

Trois trucs,

1-Je ne vois rien d'anormal, pas de faveur de Gallier.
2-Je veux bien que les commentateurs soient tout au vainqueur.
3-P'tain de merdre, le cagnant moral de la course c'est Jag... Ce monstre !
Merci pour ce message de la part de : Anniec, TorontoPat
23 Déc 2019 19:59 #13

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Réponse de TorontoPat sur le sujet A voir ou à revoir : des chevaux & des hommes ....

D’accord avec toi Vieborg.
En revanche, impressionnant à l’époque, la course entière minimum à 3 de front, un 4 dans le dernier tournant ! Et les sulkys paraissaient plus larges...
Merci pour ce message de la part de : UaUka1
23 Déc 2019 23:01 #14

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Réponse de Eleazar sur le sujet A voir ou à revoir : des chevaux & des hommes ....

vieborg écrit: Trois trucs,
1-Je ne vois rien d'anormal, pas de faveur de Gallier.


Ce n'est pas ce qu'a dit S. Guarato hier soir sur Equidia dans l'émission "La Grande heure - Les 100 ans du PdA"
Dernière édition: 23 Déc 2019 23:26 par Eleazar.
23 Déc 2019 23:24 #15

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Réponse de ivct sur le sujet A voir ou à revoir : des chevaux & des hommes ....

"all we are:just a dust in the wind"
Dernière édition: 24 Déc 2019 04:53 par ivct.
24 Déc 2019 02:23 #16
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Réponse de TorontoPat sur le sujet A voir ou à revoir : des chevaux & des hommes ....

Eleazar écrit:

vieborg écrit: Trois trucs,
1-Je ne vois rien d'anormal, pas de faveur de Gallier.


Ce n'est pas ce qu'a dit S. Guarato hier soir sur Equidia dans l'émission "La Grande heure - Les 100 ans du PdA"


Ah, alors si c’est SG qui le dit....
24 Déc 2019 07:50 #17

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Réponse de vieborg sur le sujet A voir ou à revoir : des chevaux & des hommes ....

Eleazar écrit:

vieborg écrit: Trois trucs,
1-Je ne vois rien d'anormal, pas de faveur de Gallier.


Ce n'est pas ce qu'a dit S. Guarato hier soir sur Equidia dans l'émission "La Grande heure - Les 100 ans du PdA"


Bah il a juste dit que : « Gallier ne s’est pas rabattu sur JMB ce que d’autres auraient fait ! »

Je vois là un geste de classe de Gallier sachant qu’il ne pouvait aller au bout, n’a pas gêné le vainqueur potentiel !
Merci pour ce message de la part de : iroisebleue
24 Déc 2019 09:53 #18

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L'histoire de DNA : Sunday Silence le vilain canard
24/12/2019 - Grands destins

Le meilleur étalon de tous les temps au Japon, père de Deep Impact, Sunday Silence fut pourtant le champion le plus haï de l'histoire des courses américaines. Champion au caractère infect et au pedigree obscur, ce vilain canard a pourtant tout réussi, comme nous le raconte Thierry Grandsir.




Certains chevaux ont le don de se rendre populaires, d’autres pas. Cela tient souvent à de menus détails, suffisants pour faire basculer leur destin.
Sunday Silence fut l’un des coursiers les plus haïs par les américains, et l’étalon le plus adulé du peuple japonais…

Sunday Silence naquit le 25 mars 1986 dans le Kentucky (USA). Un foal arborant une robe noire de toute beauté mais doté d’un modèle léger et anguleux, et d’une démarche déguingandée rendue erratique par des genoux creux et des pieds particulièrement sensibles. Il fut surnommé l’affreux canard (the uglyduck), signe d’une impopularité naissante…

Qui plus est, Sunday Silence survécut miraculeusement à un virus malin à l’âge foal, ce qui décida son éleveur Arthur B. Hancock à le passer aux ventes : d’abord à l’âge weanling (juste après sevrage), puis en tant que yearling et, n’ayant toujours pas trouvé preneur, aux breeze up (à 2 ans) en Californie où il racheta son poulain pour seulement $50,000. Retour forcé à la maison, et Sunday Silence fut embarqué dans un van qui se renversa sur la chaussée après quelques kilomètres, le chauffeur qui le conduisait ayant été victime d’un malaise cardiaque. Sérieusement blessé, Sunday Silence séjourna la semaine suivante dans une clinique vétérinaire. Ou quand la malchance se conjugue avec l’impopularité !


Contraint d’exploiter son poulain en compétition, Arthur Hancock envoya Sunday Silence chez Charles Whittingham, qui en acheta la moitié. Bonne pioche, car ce cheval doté d’une action très fluide, alliée à une irrésistible volonté de vaincre devint le héros de la saison classique 1989. il avait fallu pour cela trouver un cavalier qu'il accepte de ne pas jeter à terre. Archi doué mais fantasque, Pat Valenzuela fut ce jockey providentiel.




Sunday Silence rencontra quatre fois le Champion des 2 ans Easy Goer cette année là, pour le devancer à trois reprises : d’abord dans le Kentucky Derby (Gr.1), l’édition la plus lente depuis plus de trente ans pour cause de terrain détrempé ; puis dans les Preakness St. (Gr.1), qu’il aborda alors qu’il était encore boîteux quatre jours avant la course mais qu’il remporta d’un nez après une lutte épique ; et enfin dans le Breeders’ Cup Classic (Gr.1), monté au pied levé par Chris McCarron en remplacement de son partenaire habituel Pat Valenzuela (suspendu pour usage de cocaine), qui lui permit de conserver une encolure au poteau.


Ces trois hauts faits d’arme lui valurent le titre de Horse of the Year et, bien entendu, une impopularité croissante pour avoir trop souvent terrassé le chouchou du public.
C’est alors que l’éleveur japonais Zenya Yoshida décida d’acquérir 25% du cheval en vue de réaliser un substantiel profit lors de sa future syndication. Un simple placement financier (pour $2,500,000), qui prit une tournure inattendue : d’abord parce que la carrière de Sunday Silence s’acheva en ce début d’année de 4 ans (rupture d’un ligament), et ensuite parce que la syndication tourna court, faute d’investisseurs intéressés par ce vilain canard…





En fait le pedigree de Sunday Silence ne plaidait guère en faveur de sa popularité. Sa mère Wishing Well était certes gagnante de Gr.2 mais de loin le meilleur produit du très médiocre Understanding, et sa famille n’avait rien sorti de notable depuis plusieurs générations.

Quant à Montparnasse II, c'était un cheval argentin resté méconnu. Pas mieux du côté de son père Halo, qui dut sa carrière d’âge fructueuse sur gazon au fait que sa vente à 3 ans ait été annulée pour cause de tic à l’appui, et dont la réputation de cheval méchant était alimentée par la muselière qu’il arborait en permanence, même au paddock. Une brutalité et une agressivité qu’il eut d’ailleurs la mauvaise idée de léguer à son fils.

En effet, pendant sa future carrière d'étalon, les étalonniers nippons étaient contraints à s'armer systématiquement d'un solide gourdin de bois pour parer à ses attaques en allant le chercher au paddock...





Connaissant de lourds problèmes de trésorerie, Arthur Hancock n’eut aucune peine à convaincre ses associés d’accepter l’offre généreuse de Zenya Yoshida : un chèque de $7,500,000 suffit à accorder au grand éleveur japonais la totalité de la propriété du cheval, qui fut aussitôt envoyé à Shadaï Farm.

Avec un palmarès riche de 9 victoires et 5 places en 14 sorties pour $5,000,000 de gains, Sunday Silence débarqua en 1991 à Hokkaido pour succéder au Chef de Race Northern Taste, l’étalon de tous les records au Japon.

Abondamment croisé aux filles de ce dernier, le nouveau venu brisera tous les records de son prédécesseur : tête de liste des étalons de première production, tête de liste des pères de 2 ans à dix reprises, tête de liste des pères de gagnants sans discontinuer de 1995 à 2008, tête de liste des pères de mères, et même plusieurs fois tête de liste des pères de sauteurs !!!

Il n’est plus une course classique japonaise sans un trio constitué de ses descendants, et la lignée mâle qu’il a érigée, aujourd’hui efficacement relayée par son fils Deep Impact, ne cesse d’accroître son influence internationale.


Sunday Silence disparut prématurément à l’âge de 16 ans, atteint d’une fourbure qui nécessita trois opérations chirurgicales que son cœur ne put supporter.

Deuil national au Japon, pour un cheval qui aura hissé le pays du soleil levant au niveau des plus grandes nations de la planète course, et qui sera toujours là-bas le plus populaire des reproducteurs !

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Merci pour ce message de la part de : iroisebleue, commandertilly
27 Déc 2019 01:49 #19
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www.equidia.fr/articles/actualite/le-sav...-deux-memes-ancetres


" LES DEUX CATÉGORIES DE COURSE PROPOSÉES EN FRANCE SONT À PREMIÈRE VUE TRÈS DIFFÉRENTES. ET POURTANT, TROTTEURS ET GALOPEURS SONT ISSUS EN MAJORITÉ DE DEUX PUR-SANG ARABES. "


Le trotteur français est une espèce rare et unique. Créé au début du XIXe siècle pour servir dans l’armée et les transports, il résulte génétiquement de nombreux croisements. Le trotteur français que l’on connait aujourd’hui n’a vu le jour qu’au début des années 1900. C’est à cette époque que le premier tome du stud-book a été rédigé pour contrôler les conditions de course. La race provenait alors de chevaux issus de l'élevage normand et Norfolk (race anglaise) croisés avec des Orlov importés de Russie. Fermé aux abords de la Seconde Guerre Mondiale, le stud book a été rouvert peu après, puis une seconde vague dans les années 70 a vu l’importation de Standardbred venus des Etats-Unis. Ces courants de sang ont largement contribué à l’amélioration de la race et au trotteur contemporain.

DES ÉTALONS FONDATEURS ENCORE BIEN PRÉSENTS


Morphologiquement, cet animal a un profil puissant avec des épaules développées et une taille oscillant entre 1m60 et 1m70 au garrot, supérieure à la moyenne des autres races. Des similitudes avec les pur-sang sont clairement visibles sur leur tête. Ceci s’explique en partie par ses origines. Si l’on remonte dans les ancêtres (par les pères) des chevaux de course actuels, nous avons environ 90% de chances de tomber sur Darley Arabian … un pur-sang arabe. Et cela vaut aussi bien pour les trotteurs, et surtout pour les galopeurs. Ce cheval syrien né vers mars 1700 n’a pourtant jamais participé aux courses mais il est le père fondateur des athlètes d'aujourd'hui.

Même si très peu d’informations sont disponibles à son sujet, les progrès scientifiques ont permis de vérifier cet état de fait. Originaire du désert de Palmyre, il est envoyé en Angleterre à un certain Thomas Darley qui le fit saillir à des juments plutôt modestes. Rien ne laissait présager qu’il engendrerait, des générations plus tard, les futurs vainqueurs du Prix d’Amérique comme du Prix de l’Arc de Triomphe et bien d’autres prestigieuses courses partout dans le monde.




LE DESTIN ATYPIQUE D'UN CHEF DE RACE


Un second étalon, né au Yémen vers 1724, figure parmi les ancêtres des champions d’aujourd’hui.

Il s’agit de Godolphin Arabian (photo de une). Exporté de Syrie jusqu'en Afrique du Nord-Ouest, des doutes subsistent quant à son origine. On l'estime barbe de descendants arabes. Et le destin de ce grand voyageur est intimement lié à la France. Il est donné à Louis XV comme cadeau diplomatique par le Bey de Tunis. Le monarque français l’utilise comme carrossier, car il ne le trouvait pas assez imposant. Un éleveur anglais Edward Cook le remarque et l’emmène avec lui dans son Haras à Longford Hall dans le Derbyshire. A la mort de son propriétaire, il réside au haras de Lord Godolphin. Godolphin Arabian y joue un rôle de souffleur pour les autres étalons, c'est-à-dire qu’il devait identifier les juments en chaleur. Vexé de son rôle de boute-en-train, et jaloux des étalons sélectionnés pour saillir la jument Roxana, il se serait jeté sur l’un d’entre eux et l’aurait tué. Il prit ainsi sa place et commença sa carrière d'étalon. Cette histoire qui contribue à sa légende a d’ailleurs inspiré un tableau de Rosa Bonheur, Le Duel, exposé au musée du Louvre (photo ci-dessous).




LA PREUVE PAR L'HISTOIRE
Si vous n'y croyez toujours pas, il vous suffit de lire les ouvrages d'Ephrem Houel, créateur du stud-book et des courses de trot en France. Dans sa biographie, rédigée par Jean-Pierre Reynaldo, on observe la lucidité de cet homme qui voyait un potentiel pas assez exploité chez le pur-sang arabe : "Ephrem Houel ne l'a jamais caché, il a toujours évoqué une grande admiration , sinon une passion pour le cheval barbe - très méprisé et méconnu à l'époque- et surtout pour le cheval arabe [...]. (Il) le préconise pour l'amélioration de nombreuses races, car il pense qu'il peut ainsi insuffler une énergie nouvelle aux espèces un peu trop lymphatiques de l'Europe occidentale [...]."

"Un peuple qui oublie son passé n'a pas d'avenir". Cette citation de Winston Churchill peut être transposée au monde des courses hippiques. L'héritage des étalons fondateurs du pur-sang anglais est toujours d'actualité. On parle de chefs de race, tels Godolphin Arabian, Darley Arabian auxquels on peut ajouter Byerly Turk (dont la descendance est moins visible aujourd'hui).


D'OÙ VIENT VOTRE CHEVAL ?


Pour remonter dans les ancêtres des chevaux de course, vous pouvez vous rendre sur le site : www.allbreedpedigree.com/ . Sa base de données contient 6,2 millions de chevaux de différentes races. Il suffit de saisir le nom de votre cheval et cliquer sur le bouton "horse query". S'affiche alors le pedigree de votre animal sur plusieurs générations. Prenons l'exemple de Bold Eagle, trotteur français et fils de Ready Cash et Reethi Rah Jet : si l'on clique à chaque fois sur ses pères, on retombe sur Darley Arabian.

Maxime Zivanovic

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Merci pour ce message de la part de : iroisebleue
04 Mar 2020 20:41 #20
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Modérateurs: Gribouille29