Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

altratus écrit: Reste bien sur le plaisir d’aller sur les hippodromes , faire son petit jeu ,puis assister en live à la course de son favori , ça c’est irremplaçable , Mais pour le moment ........

On en est loin ... et ça fait tellement longtemps !!!

La dernière invention de la directrice du PMU... Les lieux de convivialité qui seront ouverts avec le fric du PMU sans aucune contrepartie ni borne ni reference a la marque PMU "nous on fait un don"
Cette dinde sort de chez McKinsey cabinet de conseil bien connu depuis qques années pour notre plus grand malheur

Voir les 2 vidéos sur twitter. C'est lunaire (ne pas zapper la seconde vidéo)



le tweet

le podcast entier
rmc.bfmtv.com/replay-emissions/apolline-...EN-202402060287.html
à partir de 55mn09s

Mais pourquoi se priver d'estampiller PMU ?????
Et aucun rapport avec la filière.... à la rigueur ils financeraient des lieux autour des equidés....
C'est sale les paris ?
Allez, tiens si on balançait tout pour couler la boutique...
Il faut d'urgence la dégager elle et ses sbires. Mais qui nomme ces gens ????
Au secours.
Lunaire comme tu dis.
Ils arrivaient déjà à faire des pubs sans chevaux.... maintenant faut saboter ce qui fait l'exception française

Article Mediapart

Emmanuelle Malecaze-Doublet: Les jeux dangereux du PMU en Afrique

Au mois d’octobre 2022, Michel Tomi, homme d’affaires sulfureux et considéré par la justice comme "le parrain des parrains", dirigeant notamment le PMU du Gabon et du Cameroun a été reçu dans les locaux Parisiens du PMU par sa Directrice-Générale Emmanuelle Malecaze-Doublet malgré sa récente mise en examen en juin dernier pour ses activités en Afrique.

Le PMU en difficulté sur ses activités en France, a semble-t-il décidé de fermer les yeux sur l'origine des enjeux collectés et les bénéficiaires de ses contrats en Afrique en dépit des dispositifs anticorruption et de lutte contre le blanchiment de la loi Sapin II.

En dépit des mises en cause dans des différentes affaires de corruption, abus de confiance, trafic d'influence et de blanchiment, le PMU n’a jamais rompu ses liens avec Michel Tomi, figure du milieu insulaire, qui distribue la marque PMU au Gabon et au Cameroun.
Ce dernier a été aperçu par les employés du PMU au sein du siège social du GIE accompagné par sa Directrice Générale et le Directeur de l’International en octobre dernier, quelques mois après sa dernière mise en examen le 14 juin 2022 à Paris pour recel d'abus de confiance.

Les œillères du Groupement d'Intérêt Économique et des représentants des ministères de tutelle, Économie et des Finances et de l’Agriculture, ne s’arrêtent pas aux relations historiques avec ces deux sociétés contrôlées par Michel Tomi.
En 2021, le GIE PMU a également contracté pour la distribution de ses produits en République du Congo et en RDC avec une société affiliée au milieu insulaire et à la « bande dite des Africains ».

Son chef désigné par une note confidentielle émise par la direction centrale de la police judiciaire datant du 18 mars 2022 comme Jean-Luc Codaccioni a été condamné le 8 décembre dernier par le tribunal judiciaire de Bastia à trois ans de prison ferme après avoir été interpellé lourdement armé à bord d’un véhicule blindé en Balagne, dans le nord-ouest de la Corse.

Les revenus du PMU provenant d’Afrique sont également à l’épreuve des récents coups d’État : Mali, Guinée, Burkina Faso, ces trois pays d’Afrique de l’Ouest ont connu quatre coups d’Etat en moins de deux ans.

Tandis que la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a imposé des sanctions économiques contre ces pays, le PMU a maintenu chacun de ses contrats de distribution avec les Loteries Nationales désormais contrôlées par les juntes militaires qui utilisent ces société d’État comme de véritables caisses noires, les recettes des enjeux collectés sur les courses françaises du PMU participant à leur maintien au pouvoir.S’arrogeant des lois anticorruption, le PMU s’appuie sur ses fournisseurs, des groupes familiaux échappant aux lois Sapin 2 pour fermer les yeux sur les contrats rémunérant les pouvoirs politiques en place ou leurs proches. À cet égard une enquête a été diligentée par le Parquet national financier sur le fournisseur historiques du PMU, la société Carrus.

Avec la baisse des enjeux en France, le maintien de cette manne financière provenant d’Afrique semble plus que jamais être une priorité pour le PMU comme en témoigne les derniers développements au Sénégal où l’actuelle Directrice-Générale a fêté en grande pompe un nouveau contrat avec la loterie nationale Sénégalaise en mars 2022.

Alors....on s'achète une conscience avec ces "dons" non estampillés PMU.... Où on a oublié de mentionner des retours sur ces investissements...
C'est quoi ce nid de guêpes...

Tous les memes....

www.paris-turf.com/actualites/univers-hi...ondamne-202887473160

L'Association Nationale des Turfistes n'entend pas jeter la pierre à qui que ce soit, d'autant plus que les condamnés font appel et seront donc rejugés. Mais France Galop est une entreprise contrôlée par l'État et financée par l'argent des parieurs, il est donc de notre responsabilité de nous demander si cet argent est bien utilisé. C'est le département marketing de France Galop qui, à partir de la signature de ce contrat, a développé une stratégie ultraélitiste centrée autour d'une part de la brasserie de l'hippodrome mais surtout d'autre part de l'organisation de soirées dansantes en été qui faisaient venir à la fin de la réunion de courses environ 8 000 personnes issues de la jeunesse dorée des beaux quartiers de Paris. A n'en pas douter, c'était un succès, et un succès qui pouvait éveiller des vocations, ce qui était le but recherché, mais le budget consacré à ces soirées festives n'était-il pas excessif par rapport au budget consacré au grand public ? De même on se rappelle que ces dernières années France Galop a choisi pour le Prix de l'Arc de Triomphe une stratégie également très élitiste, en ne donnant le droit d'aller voir les chevaux au rond de présentation et le long de la ligne d'arrivée qu'au prix d'un billet d'entrée à 65 euros par personne, l'entrée à 20 euros ne donnant accès qu'à un espace situé après le poteau d'arrivée, sans possibilité d'aller voir les chevaux au rond, ce qui fait qu'à chaque fois la réunion de l'Arc s'est soldée par un cuisant échec populaire (25 000 ou 26 000 spectateurs, alors qu'il y en avait deux fois plus avant l'adoption de cette stratégie).
Cette affaire regrettable doit pousser France Galop à se remettre en question et à modifier sa gouvernance pour que l'opacité qui domine trop souvent dans la communication et les décisions fasse la place à plus d'ouverture, de franchise et de dialogue, et pour qu'on se préoccupe davantage du grand public qui délaisse de plus en plus les champs de courses. Les parieurs ne continueront à financer les courses que s'ils ont confiance dans les sociétés organisatrices.

PMU : Lancement du nouveau concept de points de vente premium - "Les Paris Mutuels Urbains"
Le PMU a inauguré ce mardi 26 mars à Bordeaux, son nouveau concept les "Paris mutuels Urbains". Un lieu de convivialité et de jeu premium destiné à tous les publics...

ANGE GABRIEL : ...France Galop a choisi pour le Prix de l'Arc de Triomphe une stratégie également très élitiste, en ne donnant le droit d'aller voir les chevaux au rond de présentation et le long de la ligne d'arrivée qu'au prix d'un billet d'entrée à 65 euros par personne, l'entrée à 20 euros ne donnant accès qu'à un espace situé après le poteau d'arrivée, sans possibilité d'aller voir les chevaux au rond, ce qui fait qu'à chaque fois la réunion de l'Arc s'est soldée par un cuisant échec populaire (25 000 ou 26 000 spectateurs, alors qu'il y en avait deux fois plus avant l'adoption de cette stratégie)...

Certes, mais les tarifs d'accès à l'hippodrome, le w-e de l'Arc, sont-il représentatifs de l'évolution de la tarification ?
Dans les années soixante et soixante dix, les prix d'accès aux différentes enceintes étaient ainsi :
Pelouse 0.50 Francs.*
Tribune du Pavillon (aujourd'hui désaffectées) : 5.00 Francs.*
Pesage (Tribunes Neuilly et Auteuil désormais démolies) : 10.00 Francs avec enjeu minimum aux guichets 10.00 Francs.*
Il est facile d'établir le ratio des tarifs de cette époque, en prenant comme valeur étalon le SMIC, pour constater que les 15€ à débourser aujourd'hui pour accéder aux tribunes sont inférieurs aux tarifs pratiqués à cette époque...Et qu'il n'y a pas de corrélation entre les prix d'accès pratiqués et l'affluence du public.
* Pour des réunion dominicales ordinaires, je ne me souviens pas des tarifs en réunions exceptionnelles.

voilà ce qui guette la France....

www.chevalmag.com/sports/hippisme-fin-de...m2KjGvcnzMBOi0h0Gg74