Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

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Réponse de Odyssee sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

Le problème c est que le journaliste écrivent n importe quoi dans les gros titres.
De très nombreuses personnes ne lisent que les gros titres..
C est v
Bavent ici
40 % des petites écuries c est pas la même chose que 40 % des écuries.

Et 40% de quoi?

Pour alerter l opinion public c est pas comme ça qu on va etre aide ni xompris
Encore une fois
Les courses ça n intéresse pas plus le monde exter6quun fait divers
29 Avr 2020 21:38 #211

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Réponse de Linamix sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

🔗 [Le Parisien] Coronavirus : les professionnels des courses très inquiets de la baisse des allocations

Par Julien Sellier, Le 30 avril 2020

Repartir aussi vite que possible, même si les conditions de course changent. Voilà en substance les propos tenus par Edouard de Rothschild, qui a confirmé que les courses reprendraient le 11 mai , date de début du déconfinement. Si les autorités sanitaires doivent encore donner leur aval à cette reprise, très attendue par les acteurs de la filière, les professionnels s'inquiètent de l'annonce faite par le président de France Galop de baisser les allocations (montants versés aux premiers d'une épreuve) de 20 % minimum cette année. Une façon, parmi d'autres, de réaliser des économies pour une filière en difficulté .

« En plus des deux mois d'inactivité totale qu'on aura connus, on nous demande de renoncer à 20 % des recettes collectées jusqu'à la fin de l'année, s'insurge Mathieu Boutin, entraîneur de galopeurs à Chantilly. Tout compris, cela reviendrait à perdre 33 % de notre chiffre d'affaires annuel. C'est une politique suicidaire. »

La difficulté propre à la filière équine est que l'absence de rentrées financières se conjugue avec un maintien des charges fixes. Les chevaux nécessitent une présence quotidienne, peu compatible avec une réduction du personnel. Selon nos informations, 15 % des entreprises du secteur seulement ont eu recours au chômage partiel.

Surtout, les professionnels des courses s'étonnent de la différence de traitement avec leurs homologues de l'équitation. « Les centres équestres, comme beaucoup d'autres secteurs, ont récemment obtenu une aide directe de l'Etat. Mais, nous, rien. Et nous ne bénéficions pas non plus d'exonération de charges. L'urgence est donc de sauver les allocations. »

Le hic est que les dites allocations dépendent des enjeux au PMU, qui ne retrouveront pas immédiatement leur niveau d'avant l'épidémie. La question de leur financement se pose donc. « Contrairement à beaucoup d'entreprises, France Galop ne veut pas profiter du prêt garanti par l'Etat (PGE), regrette Mathieu Boutin. Ce serait pourtant la seule solution viable. Il s'agirait pour chaque société mère (France Galop et LeTrot) d'emprunter entre 60 et 80 millions d'euros. Si notre secteur d'activité (qui génère plus de 9,5 milliards de chiffre d'affaires en 2019) n'est pas capable de rembourser cette somme en cinq ans, c'est que les courses sont vouées à disparaître. »

« Il s'agit de sauver une filière d'excellence »

Son de cloche comparable avec Serge Tardy, président du syndicat des propriétaires de galop. « Le Conseil d'administration a opté pour un schéma sans endettement, faute d'avoir la certitude sur la capacité de France Galop à rembourser l'emprunt. On prend acte de cette décision, qui risque d'engendrer une baisse du cheptel de chevaux et une fuite des investisseurs, Mais nous considérons qu'il y a une alternative à étudier. Pour cela, nous, propriétaires et entraîneurs, souhaitons être associés aux discussions pour éviter une récession. »

Une demande a été formulée pour l'organisation d'un point hebdomadaire sur l'évolution de la situation financière des socioprofessionnels. « A mon sens, il faut conserver l'outil de production (chevaux, entraîneurs, propriétaires) avec 100 % des allocations, renchérit Serge Tardy. Outre le recours au PGE, un décalage de dettes auprès de l'Etat sur une longue durée est une solution. Entre les 800 M€ prélevés chaque année et la structuration du territoire avec ses 230 hippodromes, la filière a des arguments à faire valoir auprès des autorités. »

LeTrot, de son côté, a rempli une demande de PGE. Dans l'attente d'une réponse, les professionnels font le dos rond. « Rien n'est acté concernant les allocations, se rassure Stéphane Meunier, président du syndicat des entraîneurs de trot. Et nous ne désespérons pas d'obtenir une aide directe avec l'appui du ministère de l'Agriculture. Il s'agit de sauver une filière d'excellence. Même les Américains, pas connus pour faire dans le social, ont accordé une prime pour les chevaux à l'entraînement pendant la période d'inactivité. »

Une éventuelle réduction des allocations, comparable à celle actée au galop, serait rédhibitoire pour l'entraîneur installé dans l'Orne. « Au-delà de 10 %, il sera impossible pour beaucoup de professionnels de continuer leur activité. » Malgré ces inquiétudes, tous se préparent à reprendre dès le 11 mai le chemin des hippodromes.
Merci pour ce message de la part de : CYNASOSO, Monsieur Gru, Enrique
Dernière édition: 30 Avr 2020 14:00 par Linamix.
30 Avr 2020 13:59 #212

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Réponse de Linamix sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

Communiqué de presse :
Suite à la réunion d’information organisée ce jour pour les membres du Comité de France Galop, les associations de socioprofessionnels souhaitent apporter leur contribution

La présentation des orientations retenues par le Conseil d’Administration de France Galop n’a pas donné tous les éclaircissements nécessaires pour susciter l’adhésion. Les demandes qui ont pu être formulées pour le partenariat avec l’État n’ont pas été communiquées et les retours des ministères de tutelle restent très flous.

Le schéma proposé actuellement repose pour l’essentiel sur une baisse de 20 % des allocations à venir, ce qui, ajouté à celles non distribuées du 17 mars au 11 mai, conduirait à une baisse globale sur l’année 2020 de 28 %.

Ce schéma porte le risque de plonger la filière dans une crise très profonde. Ceci nous est proposé sans étude d’impact sur l’écosystème, avec un risque important de faillites, de baisse des cheptels et des investisseurs. Au demeurant, les perspectives 2021 ne sont en aucun cas garanties.

Nous refusons d’accepter ce schéma au stade actuel. Une alternative est proposable, basée sur la confiance, en maintenant les allocations et en étudiant toutes les pistes financières possibles incluant le recours à l’emprunt garanti par l’État - comme le font toutes les entreprises nationales d’envergure - , et/ou un décalage dans les délais de règlement des prélèvements publics sur les paris hippiques.

L’objectif doit être le maintien des allocations de façon à préserver les forces économiques des filières et éviter la spirale de la récession.

Si nous sommes solidaires d’une reprise, espérée rapide des courses - qui devra aussi être mise à profit pour conquérir des parts de marché sur le secteur du jeu - en revanche, nous ne pouvons nous résigner à une baisse des allocations de 20 % cette année, sans espoir pour 2021. Comme le président de France Galop l’a annoncé, les négociations ne sont pas terminées. Nous demandons qu’elles se poursuivent, sur des bases peut-être différentes, par l’ouverture de la réflexion à toutes les associations défendant les intérêts des acteurs des courses.

Mathieu BOUTIN, Président de l’AEP

Thierry DOUMEN, Président de l’AEPI

Serge TARDY, Président du SNPG

Hubert TASSIN, Président des PP
Merci pour ce message de la part de : CYNASOSO, Monsieur Gru, Enrique
30 Avr 2020 14:15 #213

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Réponse de Linamix sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

Confinement Vôtre #3 - Thème "Solidarité"
Table ronde hippique en mode #confinement. Avec à Alexandre Lanoë, Maxime Busset, Dany Terbeche et Stéphane Meunier.



Table ronde hippique en mode #confinement. Province Courses garde le contact avec le terrain et réunit des acteurs des courses, éleveurs, propriétaires, entraîneurs/drivers, pour partager expériences, points de vue, espoirs et surtout craintes un mois après l'arrêt des courses en France. Merci à Alexandre Lanoë, Maxime Busset, Dany Terbeche et Stéphane Meunier pour leurs participation et témoignages.
Merci pour ce message de la part de : titiduc, CYNASOSO, Monsieur Gru, Enrique
30 Avr 2020 21:31 #214

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Réponse de Tanus sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

www.paris-turf.com/actualites/jean-claud...-va-commencer-253278
Au moins un qui devrait se remettre assez facilement de la faillite de certains "petits" et de la fermeture de nombreux hippodromes PMH ...
Il me donne envie de vomir ... :sick:
On est loin du thème abordé dans "confinement vôtre" juste au-dessus !
Merci pour ce message de la part de : Enrique
Dernière édition: 30 Avr 2020 23:15 par Tanus.
30 Avr 2020 22:59 #215

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Réponse de Nicristi sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

Tanus écrit: www.paris-turf.com/actualites/jean-claud...-va-commencer-253278
Au moins un qui devrait se remettre assez facilement de la faillite de certains "petits" et de la fermeture de nombreux hippodromes PMH ...
Il me donne envie de vomir ... :sick:
On est loin du thème abordé dans "confinement vôtre" juste au-dessus !


Rien d'étonnant, il est coutumier du fait.
Le problème, c'est que le Trot se "galopéise" à grandes allures...
01 Mai 2020 11:18 #216

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Réponse de Tanus sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

Nicristi écrit:

Tanus écrit: www.paris-turf.com/actualites/jean-claud...-va-commencer-253278
Au moins un qui devrait se remettre assez facilement de la faillite de certains "petits" et de la fermeture de nombreux hippodromes PMH ...
Il me donne envie de vomir ... :sick:
On est loin du thème abordé dans "confinement vôtre" juste au-dessus !

Rien d'étonnant, il est coutumier du fait.
Le problème, c'est que le Trot se "galopéise" à grandes allures...

Tout à fait d'accord !!!
Pour en revenir au "personnage" (j'ai d'autres qualificatifs en tête mais il est préférable ne pas les écrire) ci-dessus, j'avais l'intention dés la reprise de me remettre à jouer sur le galop mais en le lisant et à bien y réfléchir, je vais rester sur le trot en sachant que voir les "gros" tout rafler va vite me gaver ...
01 Mai 2020 11:51 #217

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Réponse de Burgoule sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

JC Rouget ne représente pas tout le galop à lui tout seul !
Merci pour ce message de la part de : ivct, Enrique
01 Mai 2020 12:57 #218

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Réponse de Burgoule sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

lu sur paris-turf

Ce vendredi, LETROT a annoncé que l’enveloppe globale des allocations allait diminuer de 7,5 % jusqu’à la fin de l’année. L’effort sera supporté par les catégories des meilleurs trotteurs. Ainsi, tandis que l’enveloppe globale des épreuves F, G et H progressera de 1,4 %, celle des courses C, D et E baissera de 9,7 %, tandis que les épreuves A, B et les groupes diminueront de 15 %.
Merci pour ce message de la part de : ivct, titiduc, CYNASOSO, Monsieur Gru, Enrique
Dernière édition: 01 Mai 2020 12:58 par Burgoule.
01 Mai 2020 12:57 #219

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Réponse de PADOLYIMF sur le sujet Question de vie ou de mort pour la filiere courses en france

''Le problème, c'est que le Trot se "galopéise" à grandes allures... ''
C'est à dire?


Nicristi écrit:

Tanus écrit: www.paris-turf.com/actualites/jean-claud...-va-commencer-253278
Au moins un qui devrait se remettre assez facilement de la faillite de certains "petits" et de la fermeture de nombreux hippodromes PMH ...
Il me donne envie de vomir ... :sick:
On est loin du thème abordé dans "confinement vôtre" juste au-dessus !


Rien d'étonnant, il est coutumier du fait.
Le problème, c'est que le Trot se "galopéise" à grandes allures...

01 Mai 2020 18:16 #220

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