iroisebleue écrit: C'est Bunteblatter qui avait eu l'oeil !!!
Ne comptez pas sur moi pour avoir l'oeil, je ne fonctionne qu'à l'affect
Dans ma vie, je suis tombé amoureux de 3 chevaux,
1/ Ultra Ducal, que j'ai découvert l'année de ses 4 ans, année où il avait fait plier Queen L dans une finale de l'UET d'anthologie à Solvalla, et qui aurait pu être danseur à l'Opéra de Paris tellement son geste était élégant :
2/ Gidde Palema, ce petit fils d'Ideal du Gazeau dont on avait l'impression qu'il ne touchait pas terre lorsqu'il abordait les 500 derniers mètres d'une course (voir l'Olympiatravet 2005) ... et que j'aurais tellement aimé voir courir le PdA :
3/ Et Propulsion, pour les mêmes raisons que les deux précédents, qui de mon point de vue valait Bold Eagle ou Readly Express en valeur pure (cf le Åby Stora Pris 2018), qui terminera sa carrière avec un palmarès hors norme, mais aussi un "trou". Il aurait pu/du remporter au moins 2 Elitlopp et 1 PdA, dommage que son entourage ne l'ait pas un peu plus ménagé en choisissant le circuit scandinave OU le meeting d'hiver à 5, 6 et 7 ans ... et pas les deux, 3 années de suite. Mais on ne refait pas l'histoire et c'est toujours plus simple assis sur son canapé.
Tout ça pour dire qu'en voyant Missle Hill, j'ai eu l'impression de retrouver des traits de son demi-frère ... et d'Ultra Ducal.
Ses deux dernières courses sont vraiment impressionnantes, mais de là à ce qu'il remporte l'Elitlopp, n'exagérons pas, son palmarès est quasiment vierge en dehors du Fyraåringseliten 2019(Gr II) où il battait Fun Quick et Fric du Chêne. Daniel Reden aura donc son partant cette année, voyons s'il tient 1 (ou 2) courses en dessous de 1'10 ... et s'il tient sur la durée !