Equistratis

et les candidats hors equistratis ils ont un post? leur programme est uniquement de parler équistratis ? pourquoi n'utilisent ils pas le forum? Combien de sortants aux élections nationales? quels bilans font ils de leur mandat? les élections arrivent et pour l'instant peu de communication
y a t il un intérêt à être aux élections régionales puisqu'il semble que Paris décide?

solo49 écrit: et les candidats hors equistratis ils ont un post? leur programme est uniquement de parler équistratis ?

Tu peux trouver des éléments de programme ci-après. Philippe Savinel n'évoque pas Equistratis dans ses interventions

www.paris-turf.com/actualites/le-point-d...HNBA5Fk-tDKdrPwweHHQ

LE POINT DE VUE DE PATRICK DAVID
Par Paris-Turf.com | Publié le vendredi 11 octobre 2019 à 19:30

Les raisons de mon engagement.

Je suis engagé dans le monde des courses depuis plus de vingt-cinq années comme propriétaire (Glory d'Ariane, Ugophénio, Alpha Saltor...) et aussi comme acteur bénévole des sociétés de courses comme président de Plessé et vice-président de Pornichet.
Très concerné par la situation de la filière ces cinq dernières années, j'ai été révolté par la brutalité de la baisse des allocations de plus de 10 % décidée en décembre 2018. J'ai trouvé profondément injuste de faire porter aux acteurs des courses la quasi-totalité de l'effort d'ajustement du budget 2019 sans pour autant réduire fortement les autres coûts de l'institution.
Grâce aux informations collectées par Equistratis, j'ai pu alors mieux comprendre les modes de fonctionnement et de gestion de l'institution (Galop, PMU, Trot) et plus particulièrement de la SECF, ainsi que la réalité de la situation financière de la filière. Le constat est consternant. Mis à part l'organisation satisfaisante des courses elles-mêmes, l'entreprise SECF navigue à vue dans la tempête et offre un mode de fonctionnement réellement d'un autre monde.
Les actions et le programme d'Equistratis, la grande détermination des professionnels et le leadership de Jean-Pierre Barjon m'ont décidé à rejoindre les équipes d’“Entreprendre pour Sauver les Courses”'.
Dans cette équipe, j'apporterai toute mon expertise industrielle issue d'une longue carrière dans l'automobile, dont les six dernières années passées comme directeur industriel du groupe Valeo. Cette expérience sera utile pour l'entreprise SECF qui va devoir réviser son train de vie, réaliser des économies de fonctionnement et aussi d'échelle pour dégager très rapidement les ressources qui empêcheront une nouvelle baisse des allocations.
Une telle transformation devra s'accompagner d'un nouvel état d'esprit de tous les responsables et personnels. Cet état d'esprit devra être celui du “Centimier”, un terme qui parle de lui-même dans une situation économique de crise. De très bons exemples d'état d'esprit de ''Centimier'' existent dans bon nombre de Sociétés de Courses provinciales, qui, confrontées aux mêmes exigences de fonctionnement, peuvent donner des leçons d'efficacité et de bonne gestion aux hippodromes gérés directement par la SECF.
Par ailleurs, l'entreprise SECF devra démocratiser son fonctionnement : plus de transparence ; plus de communication ; réduire fortement le poids de la cooptation (pourquoi être coopté lorsqu'on peut être élu ?) ; redimensionner certains collèges électoraux (les propriétaires-entraîneurs représentent 3,2 % des électeurs, mais 19 % des sièges attribués).
Comme toute entreprise en difficulté, la SECF doit se résoudre à changer très vite.
Il y va de l'avenir des Courses en France.

Patrick David,
candidat aux élections du Trot
ans le collège national des propriétaires et au Comité régional de l’Ile-de-France et Haute-Normandie

Merci pour cette vidéo (elle ne semble pas complète vu des slides présentés)
Thibaud Lamarre connaît bien son sujet, Philippe Savinel beaucoup moins (beaucoup de slaloms pour épargner le maximum de gens par rapport aux économies, aucun chiffre sur les économies réalisables, il s'avance d'1 pas puis recule de 2 pas ...)
tous les candidats de tous bords auraient dû profiter de l'été pour aller rencontrer les hippodromes qui fonctionnent, ... et ceux qui "ne fonctionnent pas"
ils auraient appris beaucoup ... à pas cher:tchin:

"Quand vous pariez, vous pouvez gagner, vous pouvez perdre, mais quand vous perdez, il y a une partie qui va alimenter la filière"

J'apprends donc aujourd'hui que ce sont les perdants qui alimentent la filière. Il faudrait qu'on m'explique pourquoi. Moi qui croyais que les prélèvements (dont une partie va à la filière) étaient faits sur les mises.

Je ne vois pas en quoi leur programme sera "une assurance pour la croissance de nos allocations".

marclorr écrit: Je ne vois pas en quoi leur programme sera "une assurance pour la croissance de nos allocations".

Bien malin qui pourrait aujourd'hui garantir que les recettes du PMU vont augmenter. Personnellement, je n'en suis pas convaincu, quel que soit les programmes mis en œuvre après les élections.

Samcup écrit:

Excellent ! Jean-Pierre BARJON nous offre ce matin au début de son point de vue dans Paris Turf, un grand moment de rétro-pédalage.
Pas facile en effet, après avoir joué à l'apprenti-sorcier en matière d'élevage (ouverture du stud-book, semence congelée avec le risque inconsidéré de voir sauter le verrou limitatif des courses ouvertes aux trotteurs européens) et pris les éleveurs pour des billes, de reconnaître que finalement, la 1ère priorité de "Entreprendre pour sauver les courses" est devenue subitement : Protéger la race du trotteur français et que pour y parvenir, il sera donc nécessaire... de ne rien changer ! .
Concernant cette très récente prise de conscience, il a juste oublié de préciser, comme il l'a fait derrière un micro, qu'il a eu besoin des compétences du Président de l'équipe actuelle (ceux dont il considère le bilan comme totalement désastreux).
Le mouvement est peut-être lancé et le changement peut-être en marche mais heureusement pour le plus grand bien de la filière et de nos courses hexagonales, pour l’instant, ils vont faire encore un peu de surplace...

Nicristi écrit: Excellent ! Jean-Pierre BARJON nous offre ce matin au début de son point de vue dans Paris Turf, un grand moment de rétro-pédalage.
Pas facile en effet, après avoir joué à l'apprenti-sorcier en matière d'élevage (ouverture du stud-book, semence congelée avec le risque inconsidéré de voir sauter le verrou limitatif des courses ouvertes aux trotteurs européens) et pris les éleveurs pour des billes,

Nicristi, pour ma gouverne personnelle, moi qui ne suis pas féru d'élevage, peux-tu préciser ce que tu reproches à JP Barjon ci-dessus.
Merci d'avance.