Le Duc Ă©crit: bon courage Brissac !
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charlytrot Ă©crit: bonjour...Brissac a une super carte a jouer dans la course
j'aurais préfére le GNT ..chez lui .
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F@b H Ă©crit: J'ai l'impression qu'il n'a pas besoin d'une course dure pour le moment ... rendre 50 m dans le GNT ne l'aiderait pas a reprendre du moral
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Le match attendu entre Brissac et Balbir a tenu ses promesses, même si dans la phase finale, il est rapidement apparu que le représentant de l’Écurie du Vieux Chêne allait devoir se contenter de la deuxième marche sur le podium. En ramenant son champion à la place du vainqueur, Jean-Alain Éliphe arborait un sourire des grands jours : “Je n’ai jamais douté des qualités et de la forme de Brissac. Cet hiver, comme il me paraissait physiquement au mieux, je me suis laissé tenter par une nouvelle expérience à Cagnes. Mais mon cheval n’apprécie pas la piste azuréenne. La preuve, il a couru à trois reprises et essuyé autant d’échecs. Concernant sa prestation à Angers, il n’y a rien à dire, si ce n’est que nous avons été contrés tout le parcours et que Brissac a logiquement demandé à souffler. Je savais que le tracé de Cavaillon allait lui plaire. Il le confirme de brillante manière. Je pense que sa course en Anjou lui a fait le plus grand bien. C’est un trotteur qui a besoin de courir de façon rapprochée. D’ailleurs, vous allez le voir, dans huit jours, au départ de l’étape du GNT à Agen.”
Associé à Balbir pour la première fois en compétition, Martin Cormy ne cherche pas d’excuse : “Nous sommes devancés par un très bon cheval et il n’y a pas à rougir de notre deuxième place. Mon partenaire a bien sprinté dans le final mais Brissac n’a rien lâché. C’est une “vraie barre de fer”.”
Avant de quitter ce jeune professionnel, nous avons pris des nouvelles de ses parents : “Mon père va devoir prendre son mal en patience durant six semaines, car il souffre de fractures aux côtes et de la clavicule. Quant à ma mère, elle marche désormais, mais elle voudrait déjà courir…”
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