UaUka1 écrit:
autostart écrit: Les réserves importantes (dans les 800 millions d'euros, si je me souviens bien) qui existaient il y a quelques années, seraient bien utiles aujourd'hui. Malheureusement, elles ont disparu sous l'ancienne direction, comme a disparu le stock de masques constitué par Roselyne Bachelot.
Les nostalgiques de l'ancienne direction devraient s'en souvenir.
assimilez-vous ou avez-vous des faits?
je connais le Vicomte et je l'ai appelé le jour où il a quitté la direction
il ne m'a rien dit de ce que tu dis:(
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autostart écrit:
UaUka1 écrit:
autostart écrit: Les réserves importantes (dans les 800 millions d'euros, si je me souviens bien) qui existaient il y a quelques années, seraient bien utiles aujourd'hui. Malheureusement, elles ont disparu sous l'ancienne direction, comme a disparu le stock de masques constitué par Roselyne Bachelot.
Les nostalgiques de l'ancienne direction devraient s'en souvenir.
assimilez-vous ou avez-vous des faits?
je connais le Vicomte et je l'ai appelé le jour où il a quitté la direction
il ne m'a rien dit de ce que tu dis:(
Chiffres donnés lors des réunions en province par Equistratis qui a épluché les comptes des socuiètés-mères.
Pas 800 millions, mais 600. Au temps pour moi.
Évidemment, le Vicomte ne va pas se vanter d'avoir tout dépensé...
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UaUka1 écrit:
autostart écrit:
UaUka1 écrit:
autostart écrit: Les réserves importantes (dans les 800 millions d'euros, si je me souviens bien) qui existaient il y a quelques années, seraient bien utiles aujourd'hui. Malheureusement, elles ont disparu sous l'ancienne direction, comme a disparu le stock de masques constitué par Roselyne Bachelot.
Les nostalgiques de l'ancienne direction devraient s'en souvenir.
assimilez-vous ou avez-vous des faits?
je connais le Vicomte et je l'ai appelé le jour où il a quitté la direction
il ne m'a rien dit de ce que tu dis:(
Chiffres donnés lors des réunions en province par Equistratis qui a épluché les comptes des socuiètés-mères.
Pas 800 millions, mais 600. Au temps pour moi.
Évidemment, le Vicomte ne va pas se vanter d'avoir tout dépensé...
piiiiffffff
il m'a dit que le PMU était de -1%
et fermé avec un avantage + 20KM
es-tu sérieux ?
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Montsûrs, le 23 avril 2020 : Une réunion téléphonique des présidents des Sociétés Mères ainsi que du président et du directeur général du PMU avec les ministres de l’Agriculture et des Comptes publics s’est tenue le 21 avril 2020.
Selon un communiqué des représentants de la Filière « les représentants des pouvoirs publics et de la Filière se sont donnés 48 heures pour fixer les modalités d’un accord permettant au secteur des courses hippiques de surmonter au mieux les effets de la crise sanitaire qui la touche «, ce qui pourrait signifier que les principes de cet accord sont déjà arrêtés.
Toutefois, compte-tenu de l’absence constatée d’un plan d’urgence effectif de la part des Sociétés Mères et des orientations que les pouvoirs publics semblent avoir adoptées en cohérence avec les préconisations d’Equistratis il nous paraît nécessaire de faire connaître notre position avant toute décision définitive.
Ainsi, les pouvoirs publics auraient demandé que le PMU ou la FNCH emprunte par l’intermédiaire du prêt garanti par l’Etat une somme de 220 M€ afin de couvrir l’ensemble des besoins de la Filière pendant la période d’arrêt des courses.
Les pouvoirs publics complèteraient cette facilité de trésorerie, qui n’impacte pas les Finances publiques par une subvention de l’ordre de 100 M€, qui pourrait être financée par un abattement temporaire sur la fiscalité des enjeux.
Jusque-là, ce sont les propositions d’Equistratis adressées aux pouvoirs publics le 15 avril qui ont été globalement retenues.
Nous proposions en effet 300M€ d’emprunts pour une période d’arrêt des prises de paris « en dur » jusqu’à mi-juin, somme qui a été ramenée à 220 M€, ce qui semble encore insuffisant et 100 M€ de subventions, soit un montant équivalent à une réduction de la fiscalité de 50% pendant trois mois.
Il faut noter que les Sociétés Mères avaient exclu tout recours à l’emprunt garanti par l’Etat de peur d’être conduites au dépôt de bilan et qu’elles n’avaient aucun autre plan que d’en appeler à la générosité de l’Etat.
Equistratis a donc été entendu et nous nous félicitons d’avoir suggéré les voies de sauvegarde de la Filière que leurs représentants n’avaient pourtant pas retenues.
Mais au-delà de ces intentions qui doivent encore être confirmées il faut à tout prix éviter des contreparties qui seraient dangereuses pour l’avenir de la Filière et que nous engageons les organes de décisions des Sociétés Mères à ne pas accepter et les présidents de ces sociétés à refuser d’évoquer car ils n’ont pas reçu mandat pour cela.
Il s’agit :
- D’une baisse des allocations (le chiffre de 20% est avancé) qui serait fatale à nombre de Socio-Professionnels et qui ne se justifie pas. Il suffit de porter le montant du prêt garanti par l’Etat aux 300M€ que nous avons calculés pour limiter cette éventualité et d’utiliser la réserve de 120 M€ figurant dans les comptes du PMU pour l’éliminer totalement.
- De la mobilisation du prêt garanti par l’Etat au niveau du PMU, filiale des deux Sociétés Mères, ce qui ouvrirait inévitablement sur l’évolution du statut juridique de l’opérateur vers une SA et marquerait la fin du modèle français des courses, fondé sur le double monopole d’organisation des courses et des prises de paris. Cette mobilisation doit se faire au niveau de la FNCH qui deviendrait ainsi l’amorce de la structure faitière de pilotage de la Filière, à partir de laquelle pourrait s’engager le processus de restructuration de la Filière et la réalisation d’une économie substantielle de coûts de fonctionnements dont elle a un besoin urgent.
- De la fermeture de nombreux hippodromes PMH alors qu’ils constituent le socle territorial et sociétal sur lequel est bâtie la Filière hippique. Ces hippodromes, au surplus, représentent un coût minime par rapport à l’utilité qu’ils représentent …même si la définition d’une politique globale d’évolution des hippodromes sera nécessaire. Il est important de ne pas oublier qu’Ils sont une plateforme de bénévolat dont on mesure bien en ces temps de crise l’importance qu’ils peuvent revêtir pour notre cohésion sociale.
- De la fusion des deux Sociétés Mères qui représentent des mondes très différents qui doivent garder leur identité étant entendu que solidaires dans l’accès aux ressources des paris et la gestion du PMU elles doivent désormais développer une collaboration étroite grâce à la structure faitière.
Nous demandons donc aux pouvoirs publics de ne pas poursuivre dans la voie de ces demandes complémentaires qui nous paraissent inutiles et dangereuses.
En revanche, il nous paraît légitime de proposer aux pouvoirs publics un engagement de restructuration visant à alléger les coûts de fonctionnement de l’Institution. Il se traduirait par un renforcement du rôle de pilotage de la FNCH qui deviendrait la structure faitière de pilotage des Sociétés Mères et du PMU. Seraient regroupées à ce niveau les fonctions communes en imposant un niveau de réduction de coûts de fonctionnement des deux Sociétés Mères et du PMU de 100M€.
Equistratis a déjà transmis aux pouvoirs publics le projet correspondant qui suppose d’adapter la loi de 1891 pour conférer de nouvelles compétences à la FNCH, dont le Conseil d’administration serait élargi à des compétences qui manquent aujourd’hui dans la Filière et à revoir en profondeur l’organisation des instances de décision des Sociétés Mères.
Equistratis souhaite ardemment que la crise actuelle soit propice à la redynamisation de la Filière hippique à laquelle elle travaille depuis plus de trois ans et que les pouvoirs publics y contribuent en prenant les décisions adéquates.
contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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FPII écrit: Même si on s'en doutait, Pierre BELLOCHE a confirmé les causes du divorce entre equistratis et l'équipe de JP BARJON.
Equistratis a tenté de forcer le passage pour faire signer une convention annuelle de 200 00 € entre eux et la SECF !!!No comment.....
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Odyssee écrit:
Ainsi que l'a dit Henry Ford : “Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite”.
Donatien de Beauregard et le collectif (Matthieu Abrivard, Thierry Duvaldestin, Jean-Pierre Thomain, Carole Chauve Laffay, Jocelyn Robert, Olivier Raffin, Arnaud Leduc, Franck Harel, Serge Peltier, Franck Pellerot, Claude Gueguan, Pierre Levesque, Valérie Abrivard, Hughes Levesque, Gilles Curens, Loïc Lerenard, Pierre Belloche, Jean-Philippe Mary).
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