Autres sports

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Réponse de CYNASOSO sur le sujet Autres sports

Si certains n ont pas vus l arbitrage à sens unique c est qu ils n'ont pas voulus le voir .Nous avons été battu par une équipe bien plus forte que nous dans l impact et la tactique.,notre tendance à jouer aux pieds sur nos attaques démontre une certaine fébrilité. Il n y a donc rien d illogique à la victoire des sud africains mais qu en aurait il été avec un arbitrage régulier ?
21 Oct 2023 20:54 #1201

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Réponse de solo49 sur le sujet Autres sports

petit, petit match ce soir, à ne pas voir trop souvent!
les af sud n'avaient pas le rebond favorable ce soir, un jeu à 2 à l'heure, aucune équipe ne mérite de passer en finale ce soir!
quelle bouillie ...
Merci pour ce message de la part de : Tanus, TorontoPat
21 Oct 2023 23:03 #1202

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Réponse de Tanus sur le sujet Autres sports

solo49 écrit: petit, petit match ce soir, à ne pas voir trop souvent!
les af sud n'avaient pas le rebond favorable ce soir, un jeu à 2 à l'heure, aucune équipe ne mérite de passer en finale ce soir!
quelle bouillie ...

C'est clair ! Quelle tristesse pour une demie de CDM !
Merci pour ce message de la part de : TorontoPat
21 Oct 2023 23:59 #1203

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Réponse de BUNGEE21 sur le sujet Autres sports

Coupe du monde contrastée, vrai succès populaire, organisation perfectible avec des poules constituées beaucoup trop tôt, un sport qui ne sera jamais planétaire ( quels matchs au Qatar même en phase de poule étaient pliés à la mi temps ? ), des incompréhensions arbitrales ( même hier soir entre 2 équipes anglo sax...la pénalité pour l'AFS et pas pour l'Angleterre ensuite...). Et comme bien souvent une finale hémisphère sud...
Merci pour ce message de la part de : Tanus, veve29, TorontoPat
22 Oct 2023 07:34 #1204

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Réponse de altratus sur le sujet Autres sports

⚽️ Uruguay - Brésil mardi dernier et Neymar victime d’une grave blessure , mettant sa carrière entre parenthèse à 31 ans , 9 mois d’arrêt en moyenne selon ce toubib du sport :


«Spécialiste de la médecine sportive, Finn Mahler décortique l’accident qui va éloigner le Brésilien des terrains durant de nombreux mois.

Banalité de la scène, gravité de son issue. Neymar qui tombe et hurle de douleur, mais pour de vrai cette fois, sans tournoyer sur lui-même, immobilisé dans son drame, le visage déformé par la détresse. Il sait déjà, tout le monde sait avec lui. Ce n’est pas que cet Uruguay-Brésil de mardi soir qui est terminé pour lui, c’est la saison aussi, c’est une opération, c’est de longs mois sans jouer, avec rééducation et exercices. Neymar a 31 ans et il faut identifier clairement la nature de sa blessure et ce qui l’attend.

Spécialiste de la médecine sportive à l’Hôpital de la Tour, Finn Mahler est le chef de la cellule médicale du Servette FC. La blessure de la star brésilienne, il la connaît par cœur. Et il peut en parler dans le détail. Plongée dans le genou de Neymar.

La blessure

À la fin de la première période, Neymar est au contact avec un Uruguayen. Rien de méchant. Mais il est légèrement déséquilibré. À sa reprise d’appui sur la jambe gauche, il se blesse. Après les examens, on sait aujourd’hui la nature de cette blessure: rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche et déchirure du ménisque.

Ce qui s’est passé

Finn Mahler a vu les images et est très clair. «Neymar attaque sa reprise d’appui avec une flexion du genou d’environ 30 degrés, doublée d’un peu de torsion, détaille le docteur. C’est ce pivot, accompagnant la flexion, qui expose son ligament croisé antérieur. En fait, dans le genou, il y a comme une échancrure. La flexion et la légère torsion provoquent un cisaillement du ligament. C’est malheureusement classique comme processus dans ce sport. Il y a aussi un ligament croisé postérieur, mais dans 19 cas sur 20, c’est le ligament croisé antérieur qui lâche. Il lui faut une opération.»

Et pour le ménisque du Brésilien, qui a lui aussi été déchiré au même moment? «Il faut voir, il peut être possible de le réparer, dit Mahler. Mais dans tous les cas, cela compliquera le travail postopératoire et rallongera un peu le temps de récupération.»

Le pourquoi de l’opération

Une rupture du ligament croisé antérieur du genou n’est pas obligatoirement synonyme d’opération pour le commun des mortels. Mais pour un footballeur professionnel, oui.

«Pour tout sport dit de pivot-contact, il faut opérer, précise Mahler. Parce que le ligament ne cicatrise pas. Cela peut arriver, mais c’est trop aléatoire pour la suite, avec le risque de perdre deux ans s’il faut finalement opérer. Ce qu’il faut retenir, c’est que le football n’autorise pas l’absence de ce ligament croisé antérieur, celui qui précisément oriente le mouvement de pivot. Il y aurait trop de risques de nouvelles blessures à jouer sans, trop d’instabilité articulaire.»

Le comment de l’opération

Comment le genou de Neymar sera-t-il «réparé»? Le docteur Finn Mahler explique avec précision.

«Il faut faire une greffe, commence le spécialiste. Il faut donc prélever un greffon dans le tendon du muscle ischio-jambier, derrière la cuisse. On enlève les vestiges du ligament déchiré. Et on place le greffon dans une sorte de tunnel, à la place, en l’attachant au fémur et au tibia.»

Physiologie de la rééducation

C’est donc un tendon qui remplace le ligament? «Oui et avec le temps, ce tendon va se «ligamentiser», si je puis dire, image Finn Mahler. Ce processus se fait en même temps que la rééducation, le travail postopératoire. Cela demande du temps. Il peut arriver que quelqu’un reprenne la compétition six mois après une telle blessure. C’est vraiment le minimum d’arrêt à observer. Mais c’est alors avec des risques de rupture, justement parce que le processus de ligamentisation du tendon est encore en cours. De notre côté, nous recommandons un arrêt de neuf mois.»

Risque pour la carrière

Neymar aura 32 ans quand il reprendra le chemin des terrains (il est né un 5 février). Une telle blessure, à son âge, peut-elle mettre en péril sa carrière?

«Le corps récupère mieux à 20 ans, bien sûr, dit Finn Mahler. Mais dans l’absolu, si tout est mis correctement en œuvre après l’opération, l’âge ne change pas grand-chose. Je ne doute pas que Neymar puisse rejouer au football.»
Le Matin Ch
22 Oct 2023 09:52 #1205

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Réponse de Sea Bird sur le sujet Autres sports

TorontoPat écrit: Vous feriez mieux de rester sur les chevaux…

Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué cette rubrique s'appelle "Autres sports". Si elle ne vous convient pas...n'y participez pas.
23 Oct 2023 09:54 #1206

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Réponse de TorontoPat sur le sujet Autres sports

Je sais lire Sea Bird. Ma remarque n’était pas dirigée vers une personne.
Ce que je dénonce, c’est le fait que certains s’expriment avec le postulat que ceux qui ne sont pas d’accord avec eux sont incompétents. Donc je leur donne moi aussi mon avis : concentrez-vous sur les votres de compétences.

Dire que le coupe du monde des français est ratée, que la défaite face à l’Af Sud est méritée, que l’arbitrage du NZ n’a pas été décisif sur le résultat… c’est tellement stupide cet anti-chauvinisme.

La France a produit le plus beau jeu sur l’ensemble de la compétition (jusqu’à présent).
Certes ils ont raté quelques phases de jeu, en particulier face aux 2 finalistes… (CQFD ?)

O’Keeffe a été scandaleusement influant dans les 2 matches où il favorise clairement le jeu des SA (plaqueur qui ne fait pas l’effort de sortir des rucks, ballons interceptés « volleyés », plaquages et gestes dangereux, …), le choix de l’arbitre le plus tolérant sur ces phases de jeu pour arbitrer l’équipe qui pratique le plus ce type de jeu reste une énigme pour moi…

La NZ va gagner une énième Coupe du Monde et World Rugby sera satisfait.
Merci pour ce message de la part de : veve29
23 Oct 2023 12:54 #1207

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Réponse de CYNASOSO sur le sujet Autres sports

Comment peut on remettre le même arbitre ,8 jours après les critiques et les doutes sur ses décisions pour cette demi finale avec les mêmes sud Africains sur le terrain ? Il y a t'il qu'un ou deux arbitres internationaux dans ce sport ?
23 Oct 2023 20:05 #1208

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Réponse de altratus sur le sujet Autres sports

🏆🌍🏈
Ce sera NZ- Afsud en finale alors,comme en 95 (la coupe à Nelson Mandela)

Pas une surprise puisque ces 2 nations dominent historiquement le rugby mondial et pour les européens les battre a toujours été considéré comme un exploit , bien avant même la création du mondial à XV , ça fera 9 titres sur 10 pour les pays du sud dans cette compétition

Depuis la création de la CM en 1987 seulement 5 pays auront disputé toutes les finales (20 places) NZ -Afsud-Australie-France-Angleterre , 3/10 pour nos Bleus c’est pas mal du tout mais manque toujours un titre , le prochain en Australie (ils vont mettre le paquet pour être au top les Wallabies) ne sera pas facile à aller chercher , un grand chelem du XV de France cet hiver nous mettrait du baume au coeur (on recevra l’Irlande et L’Angleterre)

L’Afsud est forte par la puissance de sa base , 640 000 licenciés , très loin devant les autres nations , l'équipe nationale a été fortement marquée par l’apartheid et ses conséquences :


«Afrique du Sud : le pays où le rugby dépasse les frontières du sport…

L’Afrique du Sud a l’un des plus beaux palmarès du rugby à XV, avec trois victoires en Coupe du monde en 1995, 2007 et 2019.
Sport roi pour la communauté blanche et afrikaner, le rugby a été à la fois le symbole de la ségrégation au temps de l’Apartheid et de la réconciliation sous l’impulsion de Nelson Mandela.

Quand les soldats britanniques importèrent le rugby en Afrique du Sud au XIXe siècle, imaginaient-ils seulement que les Afrikaners leur infligeraient quelques années plus tard et pour longtemps de mémorables déculottées sportives ? Sans doute que non …
Le rugby débarque d’abord au Cap où Canon George Ogilvie, principal du Collège Diocésain de 1861 à 1885, fait découvrir ce jeu à ses élèves.
Les Boers, ces descendants de colons néerlandais, allemands, français, apprécient tellement ce jeu qu’ils fondent des clubs de quartiers dans les grandes villes, à Johannesburg, Le Cap et Pretoria.

Une « seconde religion »

« Le goût du sacrifice, de la discipline, du collectif entrait en résonance avec [leur] culture, pour laquelle le rugby devint ainsi littéralement une seconde religion », explique Julien Migozzi, dans les Cahiers d’Outre-mer1.
Le rugby se structure assez vite avec la création du South African Rugby Board, la fédération de rugby à XV, en 1889.
Mais il manque encore des joueurs pour former une équipe complète. Les Boers jouent alors avec leurs frères ennemis britanniques, même si les tensions entre les deux communautés sont palpables. D’ailleurs, la Seconde Guerre des Boers finit par éclater entre 1899 et 1902 et se solde par la victoire des Britanniques sur les Afrikaners.

Une entrée en fanfare dans la compétition

Les Afrikaners tiennent leur revanche en 1903 sur un terrain de sport où ils battent les Lions britanniques dans une série de matches amicaux.
En test-match, l’équipe d’Afrique du Sud est imbattable… jusqu’en 1956, que ce soit à l’extérieur ou à domicile. Une série interrompue seulement par une autre nation forte du rugby, la Nouvelle-Zélande.

En compétition officielle, l’Afrique du Sud s’illustre également lors d’une première tournée dans l’hémisphère Nord en 1906 : elle remporte 25 matches, en perd deux, et fait un match nul contre l’Angleterre.
C’est aussi lors de cette tournée que l’équipe de rugby sud-africaine se trouve un surnom : les Springboks, en référence à cette gazelle (« bouc sauteur » en afrikaans) qui effectue de grands bonds pour échapper à ses prédateurs …
D’aucuns disent que cette tournée a permis de rapprocher les Boers et les Britanniques, quatre ans seulement après la fin du conflit entre les deux communautés.

Le rugby, un sport fait par et pour les blancs

Que ce soit en cohabitation avec les Britanniques ou plus tard avec une équipe d’Afrikaners exclusivement, le rugby est alors une affaire de… blancs.
En 1948, le Parti national remporte les élections et applique l’Apartheid dans tous les domaines. Le sport est un outil comme les autres pour montrer la supériorité des blancs sur les noirs. Et comment pourrait-il en être autrement puisque les blancs bénéficient des meilleures infrastructures et du meilleur encadrement possible quand les noirs et métis doivent se contenter de jouer sur des terrains vagues dans les townships ?
Qui plus est, le rugby est l’un des socles de l’identité afrikaner, il est donc instrumentalisé par le pouvoir pour exalter le nationalisme des blancs qui chérissent le maillot vert et or des Springboks.

Le boycott international

Cette politique de ségrégation dépasse même les frontières de l’Afrique du Sud pour toucher les noirs des équipes adverses, priés de rester à la maison.
En 1960, comble chez les All Blacks : aucun Maori n’est sélectionné dans l’équipe néo-zélandaise pour la tournée en Afrique du Sud. Une pétition « No Maoris – No Tour » recueille 150 000 signatures, et des Néo-Zélandais défilent dans la rue pour protester.

La pression internationale se fait plus grande encore après le massacre de Sharpeville en 1960, qui fait plus de 60 morts et près de 200 blessés dans un township.
De 1971 à 1991, s’ouvre une période de boycott, l’Australie en tête, même si quelques rencontres internationales ont lieu, souvent accueillies par des vagues de protestation à l’étranger.
Et quand un non-blanc, Errol Tobias, endosse pour la première fois le maillot vert et or en 1981, cela scandalise en Afrique du Sud aussi bien les blancs pour des questions raciales que les noirs qui lui reprochent de cautionner le gouvernement.

Les Springboks redeviennent fréquentables avec l’abolition de l’Apartheid le 30 juin 1991. Au cours de la décennie qui suit, s’ouvrent de nouvelles perspectives pour le rugby sud-africain qui se professionnalise, avec la création du tournoi des Tri-nations (rebaptisé ensuite Rugby Championship) regroupant les meilleures équipes nationales de l’hémisphère sud que sont l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud.
Les Provinces des trois pays se rencontrent également à l’occasion du Super 12 (Super 15 aujourd’hui), sorte de Ligue des Champions où s’affrontent les meilleurs clubs de l’hémisphère sud. Mais l’événement que tout le monde attend, c’est la Coupe du monde en Afrique du Sud en 1995

La réconciliation

Un homme l’attend tout particulièrement, c’est Nelson Mandela, élu président lors des premières élections démocratiques du pays en 1994. Il voit dans cette compétition une occasion unique de dépasser les tensions raciales et de réconcilier le peuple.
Et pour cela, il mouille le maillot : il rencontre Francois Pienaar, le capitaine de l’équipe des Springboks, il encourage les noirs à soutenir cette équipe qu’ils détestent tant, il demande à l’équipe nationale de rencontrer les populations défavorisées dans les townships.
Une histoire racontée par Clint Eastwood dans le film Invictus.

Le jour de la finale, entre l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande, Nelson Mandela arbore fièrement son maillot vert et or et la casquette assortie, et galvanise ses hommes devant les 62 000 spectateurs de l’Ellis Park de Johannesburg.
Portés par tout un stade, par tout un peuple, les Springboks l’emportent face à la Nouvelle-Zélande ultra-favorite. « Ils avaient Mandela avec eux » concèdera plus tard Jonah Lomu, le redoutable ailier des All Blacks, qui confirme le rôle de Mandela en 16e homme.
Quand le président noir remet le trophée au capitaine blanc François Piennar, l’image est belle : c’est celle de la réconciliation, celle de la nation « arc-en-ciel ».
Terra South Africa
Merci pour ce message de la part de : veve29
Dernière édition: 24 Oct 2023 08:31 par altratus.
24 Oct 2023 08:18 #1209

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Réponse de altratus sur le sujet Autres sports

2 évènements sportifs ce soir , un majeur avec la finale de CM rugby , dans un match qui semble assez équilibré et qui désignera le n1 de l’histoire (jeune) des mondiaux de l’ovalie avec 4 titres

Un autre qui tient plutôt du show , du spectacle et de la rentabilité financière avec le combat de boxe entre Tyson Fury et Francis Ngannou , l’occasion pour le costaud camerounais de prendre pour ce combat , peu importe l’issue , une manne d’argent (bourse + rétrocession partielle des droits de diffusion) bien supérieure à tout ce qu’il a pu encaisser jusqu’à présent sur l’ensemble de sa carrière

Là par contre ce combat semble avant le coup complètement déséquilibré , entre Le géant (2,06m) anglais qui est considéré comme un des meilleurs poids lourds de l’histoire (récente au moins) et le franco-camerounais au punch redouté mais spécialiste d’une autre discipline , le MMA , on peut facilement parier que le Francis va beaucoup recevoir , des € et des gnons 😁
Dernière édition: 28 Oct 2023 09:02 par altratus.
28 Oct 2023 08:51 #1210

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Modérateurs: Gribouille29