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Éclipse solaire sur l'Afrique.

trop beau!!!!

Ballade dans l’univers : à la découverte de Laniakea | Hélène Courtois | TEDxLyon

Une ballade et une aventure exceptionnelles dans l'infiniment grand et ses secrets.

Astrophysicienne-cosmologue lyonnaise, Hélène Courtois a découvert les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons : "Laniakea". Ce travail de longue haleine a fait la Une de Nature. La vidéo publiée sur ce thème par la prestigieuse revue a comptabilisé plus de 2,5 millions de vues lors du premier mois de sa diffusion (novembre 2014).

ça relativise un tas de chose ....

énorme...quel pied cela doit être de prendre cette photo...vive la contemplation

L’Évènement
Cinéma : Ciel & Espace a aimé “Les figures de l’ombre”

Tout le monde peut et doit voir ce film qui rend un hommage trop tardif aux mathématiciennes noires qui, employées par la Nasa à la fin des années 1950 et au début des années 1960, ont permis la réussite du programme spatial américain ! En salles dès le 8 mars.

“À la Nasa, on pisse tous de la même couleur.” Jetant la barre en fer avec laquelle il vient de détruire le panneau réservant les toilettes dames aux femmes blanches, Al Harrison (personnage fictif, interprété par Kevin Costner) lance cette phrase aux employés de la Nasa qui le regardent, médusés.

La scène, symbolique, résume à elle seule l’histoire vraie portée à l’écran par le réalisateur américain Theodore Melfi : celle de trois femmes noires qui, embauchées par la Nasa pour leurs compétences en mathématiques, participent à l’envoi des premiers Américains dans l’espace dans une Amérique ségrégationniste.

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www.cieletespace.fr/actualites/cinema-ci...1a&mc_eid=17ff6eb85b

tempsreel.nouvelobs.com/sciences/2017031...enfin-expliquee.html

VIDEO. La vitesse folle de la Voie Lactée enfin expliquée
Notre galaxie, la Voie Lactée, fonce à une vitesse folle vers un "Grand Attracteur", mais ce n'est pas la seule explication pour expliquer la rapidité de son déplacement dans l'espace... Regardez notre vidéo ci-dessus.
Jean-Paul Fritz Jean-Paul Fritz Publié le 12 mars 2017 à 20h42

La Voie Lactée, notre galaxie, voyage dans l'univers à des vitesses vertigineuses : près de 2,3 millions de km/h. Mais l'explication complète de ce déplacement ne vient d'être comprise que récemment, grâce aux travaux d'une équipe internationale emmenée par Yehuda Hoffman, et comprenant plusieurs chercheurs du CEA et du CNRS. Entre "grand attracteur" et "grand vide", les découvertes sur les forces en présence sont fascinantes.

La Voie Lactée, notre galaxie, voyage dans l'univers à des vitesses vertigineuses : près de 2,3 millions de km/h. Mais l'explication complète de ce déplacement ne vient d'être comprise que récemment, grâce aux travaux d'une équipe internationale emmenée par Yehuda Hoffman, et comprenant plusieurs chercheurs du CEA et du CNRS.

La Voie Lactée se dirige vers un point de l'univers baptisé le "Grand Attracteur". Cet amas de galaxies situé à 150 millions d'années-lumière est certes massif, mais la matière qu'il contient ne suffit pas à expliquer que la Voie Lactée s'y précipite aussi vite. Les scientifiques ont donc continué à chercher, et ont finalement repéré un autre amas de galaxies dans la même direction, mais situé à 600 millions d'années-lumière : l'amas de Shapley.

Le mystère n'était pas résolu pour autant, même s'il était moins épais. La Voie Lactée allait toujours un peu trop vite, et pas exactement dans la bonne direction. C'est là qu'intervient l'équipe de Yehuda Hoffman, qui a récemment publié ses travaux dans Nature Astronomy. Ces scientifiques ont en effet découvert qu'à l'opposé des deux amas se situait un grand "vide" (relatif) : le Dipole Repeller, qui joue un rôle répulseur sur notre galaxie. Bien sûr, il n'y a pas réellement de force répulsive.

Mais s'il n'y avait pas ce "vide" relatif, s'il y avait autant de galaxies qu'ailleurs, leur gravité attirerait la voie lactée dans leur direction, et ralentirait donc sa course dans la direction du Grand Attracteur. La présence du "vide" favorise donc une plus grande vitesse de la voie lactée et explique précisément sa trajectoire.
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Hélène Courtois, astrophysicienne à l'université de Lyon 1 et co-auteur de l'étude, explique : "En analysant les champs de vitesse de milliers de galaxies peuplant notre univers local, nous avons identifié le déplacement de 'fleuves de matière', comme ceux qui parcourent Laniakea", notre superamas de galaxies découvert en 2014 par la même équipe. "Ces fleuves sont une conséquence directe de la distribution de la masse totale, qui s’éloigne des régions vides et se dirige vers les régions de plus haute densité."

Texte et réalisation de la vidéo : Jean-Paul Fritz

dai.ly/x5elwep

A jet stream within the Earth's molten iron core has been discovered by scientists using the latest satellite data that helps create an 'x-ray' view of the planet.


Un jet dans le noyau de fer fondu de la terre a été découvert par des scientifiques utilisant les données satellitaires les plus récentes qui permettent de créer une vision "X-Ray" de la planète.

www.geologyin.com/2016/12/molten-jet-str...discovered-deep.html

"

Le «jet stream» de fer fondu se trouve à 1860 milles sous la surface de la Terre

Un jet jet dans le noyau de fer fondu de la Terre a été découvert par les scientifiques en utilisant les dernières données satellitaires qui aide à créer une «rayons X» de la planète.

"Les satellites Swarm de l'Agence spatiale européenne fournissent notre image radiographique la plus nette du noyau. Nous avons non seulement vu ce jet stream clairement pour la première fois, mais Nous comprenons pourquoi il est là. "

"Nous pouvons l'expliquer comme une bande accélératrice de fonte de fer entourant le pôle Nord, comme le jet dans l'atmosphère", a déclaré le Dr Livermore, de l'école de la Terre et de l'Environnement à Leeds.


En raison de l'emplacement éloigné du noyau sous 3 000 kilomètres de roche, pendant de nombreuses années, les scientifiques ont étudié le noyau de la Terre en mesurant le champ magnétique de la planète - l'une des rares options disponibles.

Des recherches antérieures avaient révélé que des changements dans le champ magnétique indiquaient que le fer dans le noyau externe se déplaçait plus rapidement dans l'hémisphère nord, principalement sous l'Alaska et la Sibérie.

Mais de nouvelles données provenant des satellites Swarm ont révélé que ces changements sont effectivement causés par un jet qui se déplace à plus de 40 kilomètres par an.

C'est trois fois plus rapide que les vitesses typiques du noyau externe et des centaines de milliers de fois plus vite que la vitesse à laquelle les plaques tectoniques de la Terre se déplacent.

La mission Swarm de l'Agence spatiale européenne est composée d'un trio de satellites qui mesurent et démêlent simultanément les différents signaux magnétiques issus du noyau terrestre, du manteau, de la croûte, des océans, de l'ionosphère et de la magnétosphère. Ils ont fourni l'information la plus claire encore au sujet du champ magnétique créé dans le noyau.

L'étude, publiée dans Nature Geoscience, a trouvé que la position du courant de jets s'aligne avec une frontière entre deux régions différentes dans le noyau. Le jet est susceptible d'être provoqué par le liquide dans le noyau se déplaçant vers cette frontière des deux côtés, qui est pressé latéralement.

Le professeur Rainer Hollerbach, professeur à l'École de mathématiques de Leeds, a déclaré: «Bien sûr, il faut une force pour déplacer le liquide vers la frontière, ce qui pourrait être obtenu par la flottabilité ou peut-être plus par les changements du champ magnétique Dans le noyau. "

Rune Floberghagen, responsable de la mission Swarm de l'ESA, a déclaré: «D'autres surprises sont possibles. Le champ magnétique change constamment, ce qui pourrait même faire évoluer le jet stream.

"Cette fonctionnalité est l'une des premières découvertes en profondeur réalisées par Swarm. Avec la résolution sans précédent maintenant possible, c'est un moment très excitant - nous ne savons tout simplement pas ce que nous allons découvrir ensuite sur notre planète."

Le Dr Chris Finlay, de l'Université technique du Danemark, a déclaré: «Nous savons mieux que le noyau terrestre sur le Soleil. La découverte de ce jet est une étape passionnante pour en savoir plus sur le fonctionnement interne de notre planète. "


Le message ci-dessus est réimprimé à partir de matériaux fournis par l'Université de Leeds.