Les coulisses du foot , ces noeuds de vipères , ceci dit on n’apprend rien , on savait que Bartomeu n’avait pas été un grand dirigeant et que l’avidité de la pulga pour l’argent était sans limite , 555 millions€ sur 4 ans !! Pourquoi pas
50 000 milliards , ça n’a plus ni queue ni tête de tels montants et il en veulent encore plus
«Nain sous hormones”, “rat d'égout”: des messages insultants d'anciens dirigeants du Barça sur Messi révélés par la presse espagnole
Le conte de fées entre Lionel Messi et le FC Barcelone a pris fin en août 2021. Une conversation WhatsApp entre anciens dirigeants du Barça révèle à quel point la relation entre les deux parties était vraiment toxique à la fin de leur histoire, rapporte la presse espagnole qui s’appuie sur une enquête de la police espagnole. L’ex-président Josep Maria Bartomeu, son directeur exécutif Oscar Grau et l’ex-directeur juridique Roman Gomez Ponti se retrouvent notamment accusés d’avoir fait fuiter son contrat début 2021, mais aussi d’avoir insulté la Pulga.
Tout d’abord, un peu de contexte. Le 31 janvier 2021, “El Mundo” lâche une bombe en publiant le contrat démentiel de Lionel Messi au FC Barcelone, sur lequel le journal. Les documents montrent que l’Argentin a gagné la somme énorme de 555.237.619 euros entre 2017 et 2021 au Barça, soit 138 millions d’euros par an. Le même jour, le club nie toute responsabilité dans la publication du contrat et assure qu’une action en justice serait engagée contre le journal espagnol.
Mais les enquêtes de la police catalane révèlent aujourd’hui que ce sont certains dirigeants du Barça qui auraient divulgué ce fameux contrat. Il s’agirait de Roman Gomez Ponti, l’ancien responsable juridique du Barça, et d’Oscar Grau, le directeur général de l’époque. Les deux hommes ont travaillé sous la direction du président de l’époque, Josep Bartomeu. Dans une conversation WhatsApp à laquelle le journal sportif catalan “Sport” a pu avoir accès, Ponti et Grau ont suggéré de divulguer les contrats de certains joueurs de l’équipe première. “Pour qu’il y ait un outrage public”, est-il écrit.
Messi insulté
La conversation WhatsApp contient également des passages déconcertants, adressés personnellement à Messi. Ponti, en particulier, ne laisse rien au hasard avec le joueur vedette argentin. “Barto, tu ne devrais pas être aussi gentil avec ce rat d’égout. Le club lui a tout donné et maintenant il veut arranger les transferts et les prolongations de contrat comme un dictateur. Je ne pourrais jamais le faire, mais le coût des prolongations de Luis Suarez et de Jordi Alba devrait être déduit de son salaire.”
“Et surtout l’accumulation de chantage et d’impolitesse que le club et nous qui travaillons avons subi de la part de ce nain sous hormones qui doit la vie au Barça... ah! Mais quand les choses tournent mal (pandémie) vous recevez le mythique WhatsApp: ‘Président, baissez les salaires des autres, mais ne touchez pas ceux de Luis et moi.’ Espérons qu’il parte dans l’indifférence du peuple, ce qui est la pire chose qui puisse lui arriver”, poursuit-il.
Quelques mois après la fuite du méga-contrat, le conte de fées entre le Barça et Messi a pris fin. La situation financière du club était trop dramatique pour mener à bien la prolongation de contrat de l’Argentin. Messi est parti au Paris Saint-Germain après des adieux émouvants.
Deux autres légendes du Barça visées
Gerard Piqué, désormais à la retraite, est visé dans cette conversation WhatsApp. Après la très lourde défaite contre le Bayern Munich en Ligue des champions (2-8), Ponti l’a traité de “gros fils de p***”. En outre, l’enquête de police aurait également révélé un lien entre la conversation et la fuite du contrat de Piqué.
Ponti a également taclé une autre légende du club, Sergio Busquets. “Le club doit faire face, sous votre direction, à la réduction drastique de la masse salariale de l’équipe première de football, et plus encore après l’attitude imprésentable, méprisable et dégoûtante d’un staff de millionnaires gâtés et insensibles qui ont refusé de s’entendre avec le club sur les mesures minimales pour assurer notre viabilité économique, quelles que soient les souffrances du peuple. […] Il faut licencier ces joueurs qui n’ont pas de valeur et ne peuvent pas être transférés (Busquets peut être un excellent exemple) pour les licencier avec une compensation minimale et oublier qu’ils sont passés par le club pour ne pas nous avoir soutenu.”
7/7 sport