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C’est maintenant une certitude , "CSC" est le meilleur français de ce début de compétition , voici l’EDF en 1/4 sans avoir marqué , en 4 matchs ! le moindre but dans le jeu par l’un de ses joueurs

L’ équipe de DD nous a offert une nouvelle purge d’un niveau pitoyable(on ne les compte plus tant elles sont nombreuses) mais comme les belges n’étaient pas meilleurs …… c’était si peu intéressant que je préfère m’arrêter là concernant les commentaires

La France devrait je crois affronter en 1/4 le gagnant de Portugal-Slovénie


Entre les français et nos amis belges , il y a depuis plusieurs années un match bien plus passionnant , c’est celui qui concerne la paternité de ce met si délicieux …… les frites 🍟🍟🍟🍟

Si les 2 pays voisins en revendiquent l’origine , il semble bien , selon certains "fritologues" distingués , que le fameux batonnet frit ait vu le jour sous le Pont Neuf , à la charnière des 18ème et 19ème S , voir le texte ci-dessous :

Cela fait maintenant une vingtaine d’années que la Belgique revendique avec de plus en plus d’insistance la paternité de la pomme de terre frite. La frite est-elle bien d’origine belge ? Ou est-ce un mythe ?

"Non, la pomme de terre frite n'est pas née en Belgique, même si on dit souvent que c'est une invention belge", répond Pierre Leclercq, historien de la gastronomie, conférencier et membre du Centre de Gastronomie de Bruxelles.

C'est l'historien belge Jo Gérard qui, au cours de ses recherches sur les Pays-Bas autrichiens, est tombé par hasard sur un manuscrit de 1781, dans lequel on raconte que les habitants de Namur et des alentours font frire des pommes de terre en forme de petits poissons. Il en a donc conclu que les Belges avaient inventé la frite. Cette conclusion a d'ailleurs été publiée en décembre 1984 dans la revue Belga 2000.

Mais en réalité, ce texte parle de tranches fines de pommes de terre mises à frire dans un tout petit peu de graisse, comme il en existe un peu partout ailleurs en Europe. Il ne s'agit donc pas de nos pommes de terre frites, qui sont des bâtonnets plongés dans un bain de friture.

Aujourd'hui, la culture de la frite est typiquement belge et il paraît donc logique que l'origine de la frite soit également belge. On fait ainsi la confusion entre culture et origine. Et comme l'histoire de Jo Gérard est le principal argument en faveur de la paternité belge de la frite, on l'a ressassée depuis 35 ans, si bien qu'elle a fini par rentrer dans l'inconscient collectif.

Mais alors, d'où vient-elle ?

En fait, la frite est d'origine parisienne. Dans les années 1780, des vendeuses de beignets frits s'installent sur le Pont Neuf à Paris. Elles auraient été les premières à avoir l'idée de plonger des tranches de pommes de terre dans une friture, probablement aux environs de 1800. Au début du 19e siècle, elles en vendent sur le Pont neuf, sur les quais de la Seine, Boulevard du Temple et aux alentours des théâtres.

Dans les années 1830, la pomme de terre frite devient le symbole de la cuisine populaire parisienne. Elle devient identitaire et figure dans toutes les pièces de théâtre, les romans, les chansons se rapportant au peuple parisien. On peut dire que les frites sont nées à ce moment-là. La frite en forme de bâtonnet apparaît, toujours à Paris, au plus tard en 1840.

L'arrivée en Belgique

Vers 1842, un immigré bavarois, Frederik Krieger, apprend à confectionner des frites à Montmartre. En 1844, il s'installe comme forain en Belgique et ouvre la première baraque à frites du pays, en vantant "ses pommes de terre frites à l'instar de Paris". Les Belges découvrent alors la frite et l'accueillent avec bienveillance. Frederik Krieger fait fortune et inspire nombre d'émules.

Quelques dizaines d'années plus tard, on constate que la frite belge s'émancipe de la tutelle parisienne et que les Belges forgent leur propre culture de la frite, avec l'adoption du moule-frites, la généralisation de la double cuisson et l'accompagnement de la mayonnaise.

Un mets identitaire belge

Alors que la frite déserte progressivement les rues de Paris, elle s'impose comme un mets identitaire en Belgique et dans le Nord de la France. Dans les années 70, les Français, et Coluche en particulier, vont même jusqu'à se moquer des Belges mangeurs de frites, ce qui a le don de nous énerver.

Malgré tout, les Belges parviennent à retourner la situation en leur faveur. Non seulement ils valorisent le patrimoine de la frite belge, mais en plus ils en revendiquent la paternité, ce qui cette fois a le don d'énerver les Français.

Bref, même si la culture de la frite est aujourd'hui typiquement belge et même si c'est chez nous qu'on fait quand même les meilleures frites, c'est bien à Paris qu'elles sont apparues et qu'elles ont prospéré, avant de migrer en Belgique !

Un magnifique commentaire sur l'histoire... de la frite 😊
Pour le reste, puisqu'on est en pleine période cycliste, et d'hommages en tous genres, en voici un, totalement tombé dans l'oubli..et pourtant :

Il s'appelle Franco Balmamion et peut s'enorgueillir d'un sacré palmarès : double vainqueur du giro puis podium du tour
Mais il eut une particularité unique : celle de ne quasiment jamais attaquer et de spéculer uniquement sur la faute de l'adversaire
Il n'était pas brillant, c'est le moins qu'on puisse dire, mais s'il ne possédait pas de qualités extraordinaires, a part de ne jamais connaitre de défaillances, il n'avait pas vraiment de défauts
C'est ainsi qu'il gagna 2 giros...Sans gagner une seule étape
Encore mieux : sur ce meme Giro il cumula 7 top 10 consécutif ( !) de 62 a 68 ...sans jamais passer une seule ligne en vainqueur.
Il vint donc sur le tour : on ne le voyait jamais, sauf qu'il faisait constamment partie du groupe de tete...Il n'y gagna non plus aucune étape en 5 participations, dont celle de 1967 ou il finit sur le podium...
Sa régularité plaidait pour lui et il fut un champion respecté : car malgré tout ce qu'il faisait .." fallait le faire"..il fut ch d'Italie et cumula un nombre incalculable de places d'honneur
C'est ainsi que malgré ce superbe palmarés, bien plus gros qu'un Bahamontés ou Ocana ou Robic ou Fuente... il fut vite oublié, au contraire de ces 4 la qui malgré leurs défaites, SONT l'histoire...
Sinon, et bien..Vive les frites ! 😊

Les étapes clés du TDF , selon France Bleue :

Étape 4, mardi 2 juillet : Pinerolo - Valloire (139,6 km)

Ciao Italia, bonjour la France ! Lors de cette 4e étape, le Tour quitte l'Italie pour rejoindre l'Hexagone via les Alpes. Première étape de montagne donc pour les coureurs. Parmi les difficultés du jour, le redoutable Galibier et ses 23km à 5,1% de moyenne. Cette première journée sous le signe de la haute montagne donnera une première indication sur les forces en présence du côté des prétendants au maillot jaune.

Étape 7, vendredi 5 juillet : Nuits-Saint-Georges - Gevrey-Chambertin (CLM individuel) (25,3 km)

Étape de prestige avec le premier contre-la-montre individuel de ce Tour de France 2024. Un parcours resserré au milieu des vignes de Bourgogne où sont produits les plus grands crus au monde. Les patrons du peloton voudront sûrement en profiter pour asséner un premier coup de massue sur la tête de leurs adversaires. Attention à la Côte de Curtil-Vergy (1,6 km à 6,1%) qui fera chauffer les cuisses.

Étape 9, dimanche 7 juillet : Troyes - Troyes (199 km)

Grande nouveauté sur la Grande Boucle. L'étape du jour présentera plusieurs secteurs de chemins blancs au milieu des vignes de Champagne. Encore un hommage à l'Italie avec ses fameux Strade Bianche ou encore à Paris-Tours. Quatorze sections de chemins blancs où les coureurs devront batailler dans la poussière et les cailloux. Une neuvième étape qui testera le mental des favoris où il s'agira de ne pas connaître de défaillance.

Étape 11, mercredi 10 juillet : Évaux-les-Bains - Le Lioran (211 km)

Les coureurs qui souhaitent tenter un coup et partir en échappée dès le départ auront tous coché cette date. Pour la seule étape du Massif central cette année, ASO propose 4.350 mètres de dénivelé positif. Au menu des difficultés du jour : le col de Néronne, le Puy Mary Pas de Peyrol, le col de Pertus, le Col de Fonvat de Cère, avant la montée au Lioran. Ce qui ne manquera pas de faire des dégâts au classement général.

Étape 14, samedi 13 juillet : Pau - Saint-Lary-Soulan Pla d'Adet, (151,9 km)

Première incursion dans les Pyrénées avec des valeurs sûres au programme : le Tourmalet (hors catégorie, 19 km à 7,4%), la Hourquette d'Ancizan et le Pla d'Adet (hors catégorie, 10,6 km à 7,9%). Exactement le genre d'étapes faites pour assommer la concurrence, pour ceux qui en ont les moyens, et faites pour ceux qui aiment vivre de grandes émotions, bien installés dans leur canapé devant leur télévision.

Étape 15, dimanche 14 juillet : Loudenvielle - Plateau de Beille, (197,7 km)

L'étape du 14 juillet, jour de fête nationale, réserve toujours du grand spectacle. Nous serons servis avec cette 15e étape, la plus dantesque de ce Tour 2024. Quatre cols de première catégorie, 4.850 mètres de dénivelé positif et un final hors catégorie jusqu'au Plateau de Beille (15,7 km à 7,8%). Spectacle garanti à tous les étages !

Étape 19, vendredi 19 juillet : Embrun - Isola 2000 (144,6km)

Après la titanesque 15e étape et quelques journées plus clémentes pour les organismes des coureurs, le Tour de France rehausse le niveau trois jours avant l'arrivée à Nice, avec une portion à 2.800 mètres d'altitude sur la route goudronnée la plus élevée de France. De "l'ultra-montagne" selon les mots de Christian Prudhomme, patron de la Grande Boucle. Deux cols hors catégorie au menu, avant l'arrivée à Isola 2000.

Étape 20, samedi 20 juillet : Nice - Col de la Couillole (132,8 km)

Dernière étape avant le contre-la-montre final dans les rues de Nice, et donc ultime chance pour les favoris d'en découdre avec l'aide de leurs coéquipiers. Le tracé du jour conviendra parfaitement aux habitués du Paris-Nice mais attention à ne pas se retrouver pris dans la bataille pour le maillot jaune, si celle-ci n'est pas encore réglée. Une courte distance pour cette 20e étape mais avec quatre difficultés à gravir, dur pour les organismes en fin de Tour.

Étape 21, dimanche 21 juillet : Monaco-Nice (CLM individuel) (33,7km)

Et si tout se décidait le dernier jour ? Pas d'arrivée au sprint sur les Champs Élysées à Paris cette année, en raison des Jeux olympiques, les coureurs s'affronteront lors d'un contre-la-montre dans les rues de Nice. Il faut remonter à 1989 pour retrouver un chrono en guise d'étape finale. Cette année-là, Laurent Fignon avait perdu le Tour pour huit secondes au profit de Greg LeMond. Cette 21e étape pourrait bien être celle de l'explication finale, avec suspense insoutenable en supplément.

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A propos de l’étape finale avec un CLM , cela nous replonge effectivement en 1989 avec duel Fignon-Lemond , le dénouement , toute la dramaturgie , autour de cette étape font partie de la légende du Tour …. de l’histoire du sport même

A l’arrivée de ce CLM sur les Champs Élysées , L.Fignon perd le Tour pour 8 secondes , avant cette dernière étape il possédait encore 50s d’avance sur son second : l’américain Greg Lemond , cet écart final de 8s sera le plus petit jamais enregistré entre le gagnant et son suivant … ceci après 3500 km de course !

"Quand Fignon coupe la ligne, il s’écroule, en larmes. Cette défaite marque en quelque sorte le début de la fin de sa carrière. Le Français ne s’en remettra jamais. Laurent Biondi (directeur sportif chez AG2R La Mondiale) participait à ce Tour 1989. "C’est horrible. Moi qui ai été son proche pendant un certain nombre d’années, je n’ai même pas osé lui en parler. Pour lui, c’est une déchirure, une plaie, qui ne s’est jamais refermée", détaille Laurent Biondi."

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On rentre dans la partie cruciale de l’épreuve avec les 1/4 qui débutent

France-Portugal ce soir , depuis 1984 , 40 ans donc : 13 confrontations pour 9 succès français - 2 nuls - 2 V Portugaises , ce qui ne présage rien pour aujourd’hui , si ce n’est indiquer une tendance

La compo pour les bleus pourrait être la suivante , même système que le match précédent , Camavinga remplaçant Rabiot suspendu :

La composition la plus probable des Bleus : Maignan – Koundé, Upamecano, Saliba, Theo Hernandez – Tchouaméni, Kanté, Camavinga – Griezmann, Thuram, Mbappé.

C’est vraiment sous réserves , rien d’officiel , des surprises sont possibles

La position de Griezmann dans ce cas de figure ☹️😱

A 18h ce sera le 1er gros choc de cet Euro avec Espagne/Allemagne

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L’EDF s’est qualifiée au bout de la nuit en battant le Portugal aux tirs au but , à l’issue d’une séance particulièrement bien maitrisée sur le plan technique et émotionnel

On rappelle que les français avaient perdu lors des 2 dernières grandes compétitions suite à cet exercice

Voici donc les Bleus en 1/2 ( ce sera mardi vs l’Espagne) sans avoir marqué un seul but attribué à l’un des leurs dans le cours du jeu depuis le début de la compétition (fait unique selon l’Equipe21) mais sans en avoir non plus encaissé tant le jeu est hermétique , sans prise de risques , les défenseurs solides et "Magic Mike" impérial dans sa cage

les 2 équipes ont pratiqué un foot restrictif , frileux , à ce jeu les français de DD sont les rois du monde , les portugais meilleurs techniquement et sur le plan individuel , avec pour animer leur attaque les virtuoses B.Silva et B.Fernandes ainsi que le très remuant Leao , n’ont surement pas adopté la bonne tactique face à la forteresse tricolore

Les joueurs :
🇵🇹
Top : Pepe ( le bien nommé , 41ans ! 😲) a été un véritable roc défensif

Flop : C.Ronaldo a lui en revanche mal porté son âge avancé, lent et emprunté , ne proposant rien techniquement, il est passé complètement au travers


🇫🇷Top :
Maignan a sauvé les Bleus à plusieurs reprises , le goal dégage une confiance et une sérénité impressionnantes

Saliba : assurance de vieux briscard et sérénité aussi pour le Gunner qui est l’un des meilleurs joueurs de ce tournoi jusqu’à présent

Camavinga : le madrilène a été très actif , au four et au moulin , le milieu de terrain s’est de plus bien projeté vers l’avant , en joueur complet , polyvalent

Flop :
Griezmann semble trainer toute la misère du monde au cours de cet Euro , un problème en interne ? Justement remplacé à l’heure de jeu

Mbappé : alors lui 🥴 sur ce tournoi , malgré son masque c’est loin d’être le Zorro de l’EDF , c’est plutôt le Fantômas tant il passe inaperçu , poussant le mimétisme avec son idole CR7 jusqu’à faire un match aussi insignifiant que lui

Mais que se passe t’il avec le Bondynois méconnaissable ?
S’impliquant dans des domaines extra-sportifs , enferraillé dans une bataille judiciaire avec Nasser (pour des salaires et primes non versés, selon la presse !) occupé trop longtemps à régler un transfert difficile (sur le plan juridique et financier) hors de forme , blessé , masqué ce qui parait le gêner pas mal , il semble complètement à coté de ses pompes

"Mais que se passe t’il avec le Bondynois méconnaissable ?"

Il se passe a mon humble avis ..Ce qu'il s'est passé avec des centaines de jeunes espoirs du foot ayant sur-performé un moment et ce grace a UN coup
Un peu comme certains tennismens qui surgissent très jeune, avec UN coup effrayant et integrant de ce fait très vite l'élite...Puis, au fil du temps les adversaires savent comment le contrer....et la, de " futur champion" il passe a " ex champion"

Ce qui fera a prèsent la difference sera ..Son mental et son aptitude a travailler, encore et toujours, pour s'améliorer et avoir un jeu autrement plus imprévisible..
Il n'as pas et n'aura jamais la facilité technique ni cette vision exceptionelle du jeu qu'on pus avoir des Platini ou Messi
Il doit donc bosser a fond et a ce titre son transfert est sans doute une bénédiction, dans un club ou il ne sera a jamais qu'un numéro... Au Real si tu bosses pas tu gicles : de Raul a CR7 en passant par Benzema ils l'ont tous compris parce que a défaut d'etre des surdoués ce fut des champions dans leur tete ...Courir vite ne suffit pas, meme si tétais usain Bolt..Les adversaires savent a présent le contrer la plupart du temps..Et évoluer dans une ligue 1 ou il faisait a peu près ce qu'il voulait ne favorisait pas son éclosion
Si son mental suit il fera une belle carrière..car c'est un bon joueur..Reste que pour etre un GRAND joueur c'est dans la tete que ca se passe..et a sa décharge on ne peut pas dire que l'environnement du PSG est propice a l'éclosion d'un joueur au plus haut niveau, aussi doué soit-il..

Maintenant, aussi bien on dit ca et il nous fait un triplé contre l'Espagne..😊..Mais au fond cela ne changera rien a mon propos : la constance se doit d'etre au plus haut niveau et " faire un exploit de ci de la" ne vous situe pas comme un immense joueur..Un peu comme si un cheval gagnait le P.A très jeune, puis ensuite " se contentait de suivre" en prenant des places d'honneur...

Si l'argent est votre seule motivation, vous ne réussirez pas. Oprah WINFREY .⚽😡

altratus écrit: Mais que se passe t’il avec le Bondynois méconnaissable ?
S’impliquant dans des domaines extra-sportifs

Lesquels ?

Angleterre - Suisse en ce moment : 1er tir cadré du match à la 51ème minute !!! ... Alors critiquer le jeu "frileux" de la bande à DD, pas de problème mais ça serait bien aussi d'insister sur le fait que très peu d'équipes proposent un jeu "flamboyant" dans cet Euro !

commandertilly écrit: "Mais que se passe t’il avec le Bondynois méconnaissable ?"

Il se passe a mon humble avis ..Ce qu'il s'est passé avec des centaines de jeunes espoirs du foot ayant sur-performé un moment et ce grace a UN coup…
…" faire un exploit de ci de la" ne vous situe pas comme un immense joueur…

Parfois, il vaut mieux rester dans son domaine de prédilection, ça évite d’écrire de grosses conneries, non ?