Merci Kakkura pour vos remarques.
Point 1, c’est plus que souhaitable et (je dirai ) heureusement que la SECF peut répartir les gains, pour le coup ; c’est rassurant…
S’agissant de votre point 2, je précise :
Dans le cadre d’une location le propriétaire, le bailleur ne doit pas prendre part aux décisions de gestions de la carrière de course du cheval, pour que sa quote-part d’allocation soit exonérés d’impôts
, (c’est restrictif et non pas en théorie) cela est d’ailleurs bien précisé dans le site de la SECF.
De ce point de vue, le contrat qui stipule que le bailleur n’intervient pas dans les décisions d’engagement du cheval devient nécessaire.
Pour les point 3, vous abordez une question fondamentale, sans préciser les modalités pratiques de reprise du cheval.
Il ne s’agit pas de forcer un locataire à garder un cheval, mais de pouvoir disposer d’un délai suffisant et normal pour permettre de se retourner… C’est quand même essentiel ….A mon sens cela doit être formalisé.
Pas si simple de retrouver un nouveau locataire qui n’aurait pas participé à l’achat du cheval, ce point me semble quand même important pour réussir l’opération. Tout le monde me l’a dit.
Je pense qu’il faut au moins fixer un minimum de règle de fonctionnement en quelques lignes, sans contrat fleuve et avec une rédaction claire et intelligible.
Je crois comprendre, que dans la réalité, les choses se fixent le plus souvent de gré à gré, cette pratique surannée n’est pas sécurisante du tout…
Point 4 Je vous remercie de votre conseil, je vais donc réfléchir, à la poursuite de ce projet…
Bien cordialement