Au-delà de la création d’emplois et de la contribution à la
vitalité de territoires ruraux, la filière hippique a toujours
constitué, historiquement, une source de recettes pour l’État.
La filière a contribué à hauteur de :
- 878 M€ de prélèvement sur les paris (après avoir dépassé
le milliard d’euros pendant les années 2010)
- 50 M€ en TVA acquittés par les propriétaires non
assujettis (estimation de 2013 partagée par le ministère
des finances) ;
- 4 M€ de TVA sur les encouragements ;
- 11 M€ de redevances annuelles versées par les
hippodromes aux collectivités locales où ils sont installés.
Si le recul de l’activité et l’accroissement des charges de la
filière a impacté le retour financier sur les paris, la contribution
reste importante et justifie que le partenariat historique
entre l’État et la filière hippique, « gagnant – gagnant »,
soit réanimé.