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iroisebleue écrit: Le problème est que les acheteurs à mon humble avis ne sont pas forcément éleveurs, ce sont des sommes qui permettent des diversifications d'investissement et de risques ou alors ce sont des éleveurs ciblés qui sont dans des optiques différentes. Ils ont probablement des juments qui garantissent à elles seules des prix rentables et cherchent l'étincelle de la tendance...tout en rendant service à l'étalon, bien soutenu par les mères. Et derrière, on soutient à l'achat sur la fraction intéressante et on soigne ca.
Cela tire tous les prix vers le haut. En acceptant l'idée qu'un étalon va donner des étalons. Cela s'essouffle assez vite parfois...et cela etouffe les élevages à ambitions, moyens et réseaux plus modestes ou moins tournés vers les tendances...
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vieborg écrit: Pour moi, les éleveurs qui acceptent de participer à ces jeux de spéculation, scient la branche sur laquelle ils sont assis !
Lorsque l’on sait combien il est difficile de vendre un yearling à l'équilibre et que dire lorsque l’on veut viser un petit bénéfice...
De plus lorsque je pense au projet du Trot issue des assises de la filière voulant créer un pôle de ventes de chevaux déjà en compétition ou qualifiés inédits, il y a intérêt de pouvoir vendre au prix juste pour l’éleveur tant l’investissement devient bien plus conséquent à la base !
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