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Rugby à 7 – La France élimine sur le gong les Fidji et se qualifie pour la finale !

Exploit majuscule des Français ! Face aux Fidjiens, les Bleus n’ont rien lâché et ont décroché un succès après la sirène pour se qualifier pour la finale de l’étape sud-africaine. Ils affronteront le pays hôte pour décrocher le trophée.

La France l’a fait ! Après un match tendu et un mano a mano haletant avec les Fidji, les Bleus ont décroché leur billet pour la finale au Cap. Grâce à une victoire 19-17 décroché après la sirène, les Français se sont octroyé la chance de remporter la deuxième étape du circuit mondial.

La première mi-temps a été favorable aux partenaires de Liam Delamare, auteur de l’essai permettant aux tricolores de rentrer devant à la pause (12-5). Mais suite à un carton jaune contre Paulin Riva pour un en-avant volontaire, les Flying Fijians se sont montrés intraitables pour marquer deux essais coup sur coup et ainsi passer en tête (12-17). Mais sur la dernière action de la rencontre, Simon Désert va trouver une brèche au sein de la défense adverse et traverser plus de 70 mètres pour aplatir l’essai de l’égalisation. La transformation en coin déciderait du sort des deux équipes. Parfaitement tirée par Artaud, elle permet aux Français de l’emporter sur le fil (19-17).

En finale, les Bleus auront fort à faire face aux hôtes Sud-africains, tombeurs en demi-finale de l’Espagne. Le coup d’envoi est prévu aux alentours de 18h11 heure française. Un match que vous pourrez suivre en direct sur notre live commenté.

Rugbyrama

Commençons par "la blague de la soirée" :

Après 6 journées ( sur 8 a jouer : les 8 premiers directement en 8eme, les 16 suivants pour les 16eme et les 12 derniers éliminés), voici le classement, avec un "intrus" dont peu de personnes se rendent compte de l'exploit qu'ils sont en train de réaliser..Sauf ceux évidemment qui suivent assidument ce monde la :

1.
Liverpool 18pts

2 : Barcelone 15pts
3 : Arsenal 13
4 Leverkusen 13
5 Aston Villa 13
6 Inter 13
7 Brest 13
8 Lille 13

C'est a dire que la on est plus dans l'expression du " petit poucet" mais ...1000 fois pire
Brest est en effet ...3eme ex aequo au 3/4 de la plus dure et relevée des compétitions de club AU MONDE, sur...36

Derriere les Bretons qui trouve t'on ? des clubs dont UN SEUL JOUEUR coute plus cher que le Stade Brestois :
Dortmund, Le Celtic Glasgow, le Real Madrid, l'Atletico, Le Bayern Munich, La Juventus, le Milan AC, le Feyenoord Rotterdam, le PSV, Benfica ou Manchester City..... soit + de 60 coupes d'Europe a eux seuls

Se battant a chaque sortie avec un courage, une vaillance et une combativité de tous les instants, les hommes d'Eric Roy sont simplement en train d'écrire l'une des plus belle page de l'histoire de cette compétition, ou le mot pitié n'existe pas et ou très peu de " petites équipes", depuis 1956 date de sa création, ont pus se frayer un chemin au milieu de mastodontes comme ca, car l'on est bien en présence la des 36 meilleures équipes du vieux continent, ou de 36 des 50 meilleures ( les 14 autres étant en C3)
Pour les anciens, cela évoque furieusement le début de l'aventure des Verts, en des temps immémoriaux...Mais dont tout le monde se rappelle pourtant : Une équipe faite simplement de 11 joueurs qui n'en font qu'un, qui au fil des matchs font disparaitre la peur de leur cerveau, surs d'eux meme, et dont la derniere perf, battre le "Philips consortium"- le PSV Champion de Hollande, sans - en plus- 2 de ses meilleurs joueurs ( LeesMelou bléssé et Ajorque suspendu), laisse pantois. Avec une mention pour Bizot le gardien, matraqué tout au long du match, et auteur, encore, d'arrets époustouflants..

le prochain match ? Au Shaktar Donetsk, 27 eme actuellement ( ne riez pas, le PSG est 25 eme juste devant) et qui va jouer sa peau en l'occasion
Si la qualif "9 a 24" est déja actée pour les bretons, une victoire la bas signifierait de façon certaine celle pour les 8eme direct, créeant sans doute l'une des plus grande surprise de l'histoire ( Brest dans le top 8 était coté en aout au début de la compétition a .....187/1)

le SB29 que pour ma part je suis, avec ses hauts et ses bas, depuis la saison 2009-2010 (et sa remontée en L1, avec Alex Dupont)

"Nous sommes les ty zefs, sauvages et fiers de l'être, nos chants résonneront, comme le tonnerre de Brest"

Usyk remporte la revanche face à Fury et reste champion du monde des lourds

Alexandre Usyk a battu pour la deuxième fois d'affilée Tyson Fury à la décision, ce samedi à Riyad. L'Ukrainien demeure invaincu avec une 23e victoire et, surtout, il reste le patron chez les lourds.

Sept mois après la victoire d'Alexandre Usyk face à Tyson Fury, les deux hommes se retrouvaient ce samedi soir à Riyad pour la revanche. Une nouvelle fois, c'est l'Ukrainien qui a pris l'avantage, malgré une meilleure résistance du Britannique. Plus dynamique et constamment porté vers l'avant, Usyk a confirmé sa domination face au « Gipsy King ». Usyk conserve son invincibilité (23 victoires en 23 combats) et surtout ses ceintures WBO, WBA et WBC.

L'Anglais Tyson Fury promettait la foudre, jurait qu'il avait retrouvé sa jeunesse grâce à un camp d'entraînement de trois mois sans parler à sa famille, mais il n'en a pas fait assez, ce samedi devant les 18 000 spectateurs de la Kingdom Arena. Les rounds se ressemblaient, Usyk se montrant très actif et réussissant à s'approcher et surtout toucher le géant anglais. Fury n'en a pas fait assez et, sans surprise, les juges l'ont déclaré battu à l'issue des douze rounds, les trois rendant le même pointage, 116-112.

Usyk (37 ans, 102,500 kg, 1,91m, 23 victoires, dont 14 avant la limite, 0 défaite) a montré qu'il est un champion d'exception, toujours aussi brillant, alors que Fury (36 ans, 127,460 kg, 2,06m, 34 v., dont 24 avant la lim., 1 nul, 2 d.) montre qu'il arrive en fin de carrière. Pourtant, il ne prendra certainement pas sa retraite et affrontera son compatriote Anthony Joshua, sans titre en jeu, devant 100 000 spectateurs à Wembley.

Ce samedi, comme à son habitude, Fury était lent à démarrer, étendant son long direct du gauche dans le premier round, tandis que l'Ukrainien cherchait à se rapprocher et à se jeter avec des enchaînements de deux coups. Usyk était toujours le plus actif dans la deuxième reprise, très encouragé par les spectateurs, mais il devait prendre des risques pour s'approcher et, en fin de round, la droite de Fury passait et le touchait nettement.

L'Anglais se déplaçait davantage dans la troisième reprise, frappait plus, mais l'Ukrainien était toujours aussi actif. Usyk impressionnait dans le quatrième round, il réussissait à s'approcher et à placer ses séries au visage, tandis que l'Anglais ne cherchait qu'à répliquer sur un coup. Fury en faisait plus au cinquième, mais, à chaque fois qu'il touchait, son adversaire contrait aussitôt. Au sixième, la tactique des deux hommes ne changeait pas et, surtout, Fury montrait qu'il n'arrivait pas à faire la différence.

Les rounds se suivaient et se ressemblaient. Dans le huitième, l'Anglais plaçait deux coups nets, mais Usyk, toujours autant encouragé par le public, répliquait avec succès. Dans le douzième et dernier round, Fury marchait résolument sur le champion, mais sans réussir à l'inquiéter. Et Usyk se permettait même de rendre coup pour coup. À 37 ans et après une très longue carrière amateur et professionnel, Usyk n'a plus rien à prouver. Pourtant, il semble extrêmement improbable qu'il prenne sa retraite.

L’Équipe