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Il était vraiment temps que cette (mauvaise) histoire se termine :

PSG : Coup de tête, balayette, larmes et insultes… Comment l’histoire de Neymar a viré au cauchemar

Dans un long article de France Football consacré à Neymar, on apprend que l’histoire d’amour entre le Brésilien et le PSG a fini par tourner au fiasco

«Un immense sentiment de gâchis. Voici le sentiment qui prédomine à la lecture du long format de France Football consacré à ce qui s’apparente quand même pas mal à une descente aux enfers pour Neymar. Arrivé avec une taille de guêpe et le sourire jusqu’aux oreilles à l’été 2017, dans un Parc des Princes qui avait beau se pincer mais n’en croyait toujours pas ses yeux, le génie brésilien est finalement parti par la petite porte, mis dehors par Luis Enrique à son arrivée au club il y a un an.

Selon nos confrères de France Football, le numéro 10, retranché dans son bunker semi-orgiaque de Bougival, après avoir ambiancé les nuits parisiennes lors de ses premières années au club, avait fini par se mettre une bonne partie de l’équipe à dos. En cause, un mal-être évident, au point qu’un jour un joueur de l’effectif l’a retrouvé dans les toilettes du vestiaire, en pleurs, à la mi-temps d’un match de championnat. « Il était surpris de le voir comme ça. Le Brésilien lui a dit que personne ne le comprenait », confie à nos confrères un proche du club parisien.

Mal-être évident et divorce annoncé

Ce spleen pouvait aussi se transformer en colère, voire en méchanceté, comme lors de cet accrochage lors d’un entraînement au Camp des Loges avec un adjoint de Christophe Galtier. De retour sur le terrain mais toujours passablement énervé, Neymar décharge alors sa frustration sur le pauvre Ismaël Gharbi. « Neymar l’a rattrapé pour lui mettre une balayette et un coup dans la tête alors qu’il était au sol, affirme un témoin à FF. Tout le monde était choqué… Sur la fin, il n’était vraiment pas sympa. »

L’ancien Barcelonais avait aussi pris pour habitude de s’en prendre ouvertement à Vitinha, le jeune Portugais fraîchement débarqué du FC Porto. « Il s’est montré odieux avec Vitinha, continue le même témoin. Le Portugais a démenti, parce qu’il est gentil et ne voulait pas de problèmes, mais, à plusieurs reprises, il s’est fait insulter. »
Une équipe divisée

De manière générale, le comportement et les frasques du Ney – comme quand il arrivait au Camps des Loges avec les yeux et la démarche de celui qui n’a pas bu que de l’eau la veille – ont fini par exaspérer une grande partie du groupe, dont Mbappé mais aussi Sergio Ramos, lequel avait dû intervenir pour éviter que Neymar ne s’en prenne à Hakimi après une altercation entre le Marocain et son pote Léo Messi.

Dans un tel contexte, on comprend un peu mieux les résultats d’un PSG qui, la saison dernière, n’avait plus d’équipe que le nom. Il était donc grand temps que Neymar mette un terme à cette aventure gâchée par des blessures à répétition et une hygiène de vie pas toujours cadrée pour le sport de haut niveau.» 20 minutes

Les confidences de Guy Roux :

« Mais pourquoi vous venez me voir ? Je ne suis plus coté à l’Argus et je n’intéresse plus grand monde. » Bonnet aux couleurs de l’AJ Auxerre sur la tête, Guy Roux descend de son SUV garé au pied du stade de l’Abbé-Deschamps dont il fut le héros pendant plus de quarante ans (1961-2005) dans le costume d’entraîneur. Après un bref passage dans les locaux pour saluer le personnel et effectuer une séance photo sur la pelouse, l’emblématique coach (85 ans) a convié Le Figaro au Bourgogne, une bonne table où il a ses habitudes et même son portrait au mur. L’œil vif et toujours aussi bavard, devant un verre de chablis, des escargots en godet et un magret de canard aux fruits, l’Auxerrois a, pendant plus de deux heures, livré son regard sur l’actualité du football et distillé quelques souvenirs d’une vie dédiée au ballon rond. Entretien avec une icône.

Que devenez-vous ?
Guy ROUX. - Je vis ma vie de retraité, paisible et au calme. Je n’ai plus que 10 % de l’activité que j’avais comme entraîneur. L’été, je me lève à 7 heures et l’hiver à 8 heures. J’ai un grand jardin et un verger où je peux ramasser mes cerises. J’ai aussi des forêts que je surveille, mais je donne mon bois. J’écoute la radio tous les matins pour les infos et je lis le journal, parce que je continue d’écrire dans le journal local tous les mardis avec un édito sur les sports. J’essaie de parler de tout le monde. Cette contribution permet de donner 5600 € par an à la Ligue contre le cancer. C’est déjà beaucoup d’argent. Mais depuis peu ils l’ont mis sur le web, je ne sais même pas où c’est. Mais je ne m’exprime plus sur l’AJ Auxerre.

Vous n’avez plus aucune fonction à l’AJA…
Je ne m’occupe plus du tout de l’équipe professionnelle, mais je vois tous ses matchs et les entraînements une à deux fois par semaine. Je suis derrière la main courante avec le public. Mais l’entraîneur a décrété qu’il fallait fermer les portes à la veille des matchs, ce que je trouve logique. Les dirigeants m’ont dit que je pouvais venir, mais je préfère ne pas m’inviter… L’équipe (1re de Ligue 2) est proche de la remontée en Ligue 1, je n’y suis pas insensible. Ils font une très belle saison.

Après toute une vie dans le football, quel est votre rapport à ce sport aujourd’hui ?
Je continue à regarder beaucoup de matchs, sept en moyenne par semaine. J’apprécie de regarder le Paris Saint-Germain même lorsque Luis Enrique met tous ses remplaçants. Ce n’est pas que j’aime particulièrement ce club, mais je suis leur supporteur en Coupe d’Europe. Je dois avouer que quand le PSG affronte Brest je suis plutôt supporteur breton.

Quelles grandes équipes vous font rêver ?
Manchester City ne me fait pas forcément rêver, mais elle m’intéresse, car elle joue au foot comme on joue au handball ou au basket avec un principe de possession consistant à dire : « Tant qu’on a la balle on ne peut pas prendre de but. » Et en même temps, ils se disent : « On arrivera bien à leur mettre au moins un but. » Liverpool me plaît davantage quand l’Égyptien (Mohamed Salah) est en forme. Je suis vraiment fan de lui. Il aurait été très bien dans un 4-3-3 à Auxerre.

Kylian Mbappé est la star du football français, que vous inspire-t-il ?
Il concentre tous les regards, mais peut-être que ce ne sera que temporaire… J’espère qu’il est sérieux, qu’il dort le soir et qu’il boit de l’eau. Le foot, c’est simple : entraînement plus repos égale forme. Je disais à mes joueurs : « L’entraînement, c’est moi, mais le repos c’est vous. » Mais cela ne m’empêchait pas de les surveiller.

Mbappé est-il le meilleur joueur du monde ?
Il est formidable, mais encore incomplet. En vitesse de course je lui donne 15/20, en technique générale 16/20, mais en vitesse d’exécution, il monte à 19/20. Il fait les choses plus vite que n’importe qui au monde. Mais c’est un joueur beaucoup moins complet qu’un Pelé par exemple. En revanche, de la tête je lui mets 6/20. Il est nul. Mais il s’en fiche, car il est tellement bon dans le reste…

Par rapport à l’argent, vous gardez l’image d’un homme économe, voire radin…
Je ne le suis pas vraiment en réalité. Je ne suis pas dépensier, mais quand je veux marquer le coup, je ne calcule pas. Avec mon fils et mes petits-enfants si j’ai envie d’aller dans un étoilé à Joigny, j’y vais, même si ça peut me coûter un mois de retraite. Mon image de pingre, c’est une œuvre de Canal+ et des « Guignols ». La première fois que je me suis vu avec ma marionnette, ça m’a contrarié. Mais j’ai assez vite compris que stigmatiser la qualité d’un homme qui savait gérer son argent de manière économe pouvait m’être profitable pour faire la promotion de produit et des publicités. J’ai gagné bien plus d’argent dans les médias et la publicité qu’en étant entraîneur.

Avez-vous un regret dans votre vie d’entraîneur ?
Oui, ne pas avoir gagné la Coupe d’Europe. On a été volé en quart de finale de la Coupe de l’UEFA par les Russes du CSKA Moscou (défaite 4-0 en Russie, victoire 2-0 à Auxerre en 2005). L’arbitre était acheté. Au match retour, je vais vous raconter une anecdote qui pourrait nous valoir la prison (sourire). Après le match aller, j’avais des suspicions et j’ai demandé à un gars de chez nous d’aller fouiller les sacs des arbitres pendant le match. Il revient me voir, blême, et me dit: «Il y a des montres superbes avec des rubis. » J’avais dix minutes pour prendre la bonne décision. Six mois avant ce match, j’avais décidé d’arrêter avec Auxerre, personne ne le savait. Si je décide d’appeler les flics et les instances, on les dénonce, je vais faire virer les quatre arbitres allemands et moi, je serai le gars à l’origine de ce scandale, mais pas la personne qui a fait 894 matchs de Ligue 1 et porter l’AJA en Europe. Je n’ai pas pris la bonne solution. Je n’ai rien dit. Et j’ai été encore plus imbécile en ne piquant pas les montres (rires).

Vous avez côtoyé bon nombre de dirigeants, notamment Bernard Tapie, quels souvenirs gardez-vous de lui ?
On s’entendait bien, cette relation m’amusait, même s’il m’a fait plusieurs entourloupes. J’étais sous le charme, comme les Français, quand il prétendait sauver les boîtes, et avait son émission de télé pour apprendre aux jeunes à se battre. Quand je l’ai côtoyé dans le football, je me suis rendu compte que c’était un peu différent… Il nous a acheté beaucoup de joueurs (Prunier, Boli, Cantona…). Pendant un match très serré et tendu, j’étais à quatre pattes sur la pelouse et je l’entendais mettre la pression sur l’arbitre. Il était derrière moi et me lançait : « Gros con rentre dans ta niche » (rires). Moi, je m’en foutais, j’ai continué. Ce jour-là, je l’ai vu garder l’arbitre une heure dans le bureau. Aujourd’hui, ce ne serait plus possible. Il ne pourrait pas diriger son jeu comme il l’a fait à l’époque. Il devrait être beaucoup plus fin, car il ne passerait plus entre les mailles du filet.

Avec l’AJA, vous avez aussi été proche de Gérard Depardieu. Quelles sont vos relations aujourd’hui ?
Je ne vais pas renier Gérard. Je mets ses affaires de côté. J’ai mon idée personnelle sur le sujet, mais je ne souhaite pas en parler. J’ai le souvenir de Gérard qui venait en tribunes en compagnie d’une grande et belle actrice, Carole Bouquet et son enfant. Pour les besoins du film (Le Plus Beau Métier du monde) Gérard a eu un jour besoin d’emmener sa classe à l’Abbé-Deschamps. On a eu vingt gamins dans le vestiaire venus voir les joueurs et ils ont tout fauché. Mais on ne peut pas engueuler un gars comme Depardieu.

Il accompagnait aussi parfois l’équipe en déplacement…
Je me souviens d’un match à Marseille, il avait assuré notre sécurité avec des molosses de la campagne électorale de Jacques Chirac. Le match de coupe s’est joué aux tirs au but, c’était très tendu. Je n’avais qu’une peur, que mes joueurs soient mis en miettes par des débordements du public. Gérard était même descendu sans rien dire à personne sur la pelouse. Au final, le délégué de la FFF voulait faire un rapport, mais j’ai répondu que je ne connaissais pas cet homme-là. Gérard a toujours été d’une grande gentillesse avec nous.

Il y a aussi cet épisode cinéma où vous étiez consultant technique du film Coup de tête …
Jean-Jacques Annaud ne connaissait rien au football et je lui ai demandé si Patrick Dewaere savait jouer, il m’avait répondu « oui sûrement… ». En fait, il était nul, vraiment nul ! Le plus drôle a été de monter la scène où Dewaere marque un but de raccroc. Annaud m’a dit de me débrouiller. On a fait et refait la scène des dizaines et des dizaines de fois. À minuit, j’étais à plat ventre derrière le but et je lançais le ballon sur son tibia et il a fini par marquer, je ne sais pas comment. Dewaere était un garçon très gentil, mais en pleine déprime, et Annaud s’en souciait. On s’était bien occupés de lui, cela reste un très bon souvenir.

Quelle image aimeriez-vous laisser au football ?
Je m’en fiche. Vous direz ce que vous voulez. Certains se réjouiront de mon départ, d’autres me regretteront. Ce qui me caractérise sans doute, c’est la défense de la vie athlétique du joueur.

C’est-à-dire ?
Les faire dormir et boire de l’eau. Et qu’ils aiment plus les dames après les matchs qu’avant. Le président de l’AJA veut me faire une statue à Auxerre, parce que sir Alex Ferguson et Arsène Wenger en ont une à Manchester et Arsenal. Je lui ai répondu qu’on n’était pas anglais… Cela va surtout servir d’endroit pour que les oiseaux fassent leurs besoins, mais aussi pour mes ennemis, lors des carnavals, les saltimbanques s’y mettront gaiement aussi. Mais j’y réfléchis… Le Figaro Sport

rhoooo le match de dingues encore ! le Stade Brestois bat le Stade Rennais 5 à 4 après avoir été mené 2-1 à la mi-temps, passé devant à 4-2 au cours de la 2e, retour à 4-4 pour Rennes et le 5e but brestois dans les arrêts de jeu! youhouuuu!

Vouiiiii GRIBOUILLE29, Brest verra l' Europe la saison prochaine.

rmcsport.bfmtv.com/replay-emissions/afte...VN-202404280433.html
Lorsque BREST repointe le bout de son nez parmis l'élite du foot français , tout de suite ca me ramène aux années 90 👍
www.football-the-story.com/roberto-cabanas

🔗 Relais de la Flamme Olympique

Le 18/05 :
TYSON FURY VS OLEKSANDR USYK : LE CHOC DES TITANS POUR L'UNIFICATION DES TITRES DES LOURDS

Le combat que tous les fans de boxe attendent avec impatience aura enfin lieu le 18 mai 2024 à Riyadh en Arabie Saoudite. Tyson Fury, champion WBC des lourds, affrontera Oleksandr Usyk, détenteur des ceintures WBA, IBF et WBO, pour déterminer qui sera le prochain roi incontesté de la catégorie reine. Un choc au sommet entre deux boxeurs invaincus qui promet d'entrer dans la légende.

Ce combat revêt une importance capitale pour l'histoire de la boxe. En effet, cela fait près de 25 ans qu'il n'y a plus eu de champion unifié chez les lourds depuis Lennox Lewis en 1999. Le vainqueur de ce duel au sommet deviendra seulement le 3ème boxeur de l'histoire après Lewis et Evander Holyfield à réaliser cet exploit. Mais au-delà des titres et des honneurs, c'est aussi et surtout une question de suprématie et de légitimité qui se jouera sur le ring.

Pour Tyson Fury, ce combat représente l'occasion de prouver définitivement qu'il est le meilleur boxeur de sa génération. Invaincu en 34 combats, le "Gypsy King" est sur une impressionnante série de 9 victoires consécutives dont 3 avant la limite face à Deontay Wilder (2) et Dillian Whyte. S'il s'impose face à Usyk, il rentrera un peu plus dans la légende et pourra légitimement revendiquer le statut de plus grand poids lourd de ce siècle.

De son côté, Oleksandr Usyk tentera de réaliser un authentique exploit en devenant le premier boxeur de l'histoire à avoir unifié les titres en lourds-légers puis chez les lourds. Un défi immense pour l'Ukrainien qui s'attaque à un monstre physique comme Fury. Mais le champion olympique 2012 a déjà prouvé qu'il avait les qualités techniques et mentales pour créer la surprise, comme il l'a fait face à Anthony Joshua. Une victoire contre Fury le ferait entrer au panthéon de la boxe.

Tyson Fury partira favori de cette confrontation au vu de son incroyable carrière et de son imposante stature (2m06 pour 125kg). Le Britannique possède un style unique, fait d'agilité et de rapidité malgré son gabarit hors norme. Gêné par les gauchers, il devra se méfier du jeu en contre d'Usyk. Son principal atout sera sa puissance, avec laquelle il tentera d'envoyer l'Ukrainien au tapis.

Oleksandr Usyk aura fort à faire physiquement face à Fury. Plus petit (1m90) et bien moins lourd (100kg), il devra utiliser sa science du ring, sa mobilité et sa vitesse d'exécution pour tenir à distance le géant britannique. Gaucher au style atypique, il posera sans nul doute des problèmes à Fury au début du combat. Mais il faudra qu'il tienne la distance face au rouleau compresseur adverse.

Sur le papier, Tyson Fury semble avoir les faveurs des bookmakers et des spécialistes. Mais Usyk a les armes pour déjouer les pronostics et créer une énorme surprise.

FURY VS USYK : LES DÉCLARATIONS D'AVANT-COMBAT
Lors d'une interview donnée au Sun, Tyson Fury s'est montré très confiant à quelques semaines de ce choc au sommet : "Je suis le meilleur poids lourd de ma génération, point final. Usyk est un grand champion mais il est trop petit. Je vais le démolir. Ce combat ne sera pas long, je vous le garantie. Je suis plus grand, plus costaud, je frappe plus fort. Rendez-vous le 18 mai pour assister à une leçon de boxe !".

De son côté, Oleksandr Usyk affiche une sérénité à toute épreuve et se dit prêt pour le plus grand défi de sa carrière : "La taille n'a pas d'importance, seul le coeur compte. Je ne suis peut-être pas le plus grand ni le plus fort, mais je suis le plus malin. Fury ne m'impressionne pas. J'ai battu des géants comme Joshua ou Gassiev. Je montrerai au monde entier ce dont je suis capable en battant Fury. Mon heure de gloire est arrivée !".

QUEL EST LE PALMARÈS DE TYSON FURY ?
Tyson Fury est invaincu en 35 combats professionnels, dont 24 victoires avant la limite. Champion WBC des lourds depuis 2020, il a notamment battu Deontay Wilder (x3) et Dillian Whyte. Sa carrière a aussi été marquée par des succès contre Wladimir Klitschko et Dereck Chisora. Un palmarès impressionnant !

QUEL EST LE PARCOURS D'OLEKSANDR USYK ?
Oleksandr Usyk est lui aussi invaincu en 21 combats, dont 14 victoires par KO. Champion olympique 2012 chez les lourds, il a ensuite unifié les titres WBA, WBC, IBF et WBO en lourds-légers entre 2016 et 2018. Passé chez les lourds en 2019, il a décroché les ceintures WBA, IBF et WBO en battant Anthony Joshua en 2021. Un authentique champion !

Quatre ceintures majeures seront en jeu dans ce combat d'unification : les titres WBC de Tyson Fury et WBA, IBF, WBO d'Oleksandr Usyk. Le vainqueur deviendra le champion incontesté de la catégorie et seulement le 3ème boxeur de l'histoire à réaliser cette performance après Evander Holyfield et Lennox Lewis.

QUI ARBITRERA LE COMBAT ENTRE TYSON FURY ET OLEKSANDR USYK ?
La tâche d'arbitrer ce choc au sommet a été confiée à l'Américain Kenny Bayless. Âgé de 77 ans, il est considéré comme l'un des meilleurs arbitres au monde, ayant officié lors des plus grands combats des 20 dernières années comme Mayweather-Pacquiao ou Wilder-Fury 2. Les deux boxeurs seront entre de bonnes mains

L'événement aura lieu le samedi 18 mai 2024 à Riyadh, en Arabie Saoudite. Le coup d'envoi de la soirée sera donné à 18h, heure française. Le combat sera retransmis en direct sur les chaînes payantes Sky Box Office (Royaume-Uni) et ESPN (États-Unis). En France, la diffusion sera assurée par Canal+ Sport. Les fans pourront également suivre le combat en streaming sur les plateformes DAZN et ESPN+.

Journée Mondiale > sport

Sacré Zizou !

Revenu mardi à Bordeaux pour fêter les 100a du Parc Lescure et disputer un match vs le Variété CF , le légendaire meneur des bleus (51 ans) a traversé le terrain en jonglant devant un public ébahi (guichets fermés) , la séquence est en train de faire le tour de la planète foot

C’est lui qui aurait dû porter la flamme à Marseille (son lieu de naissance) cela aurait eu une autre allure


youtube.com/shorts/1-1wnwzG90g?si=FvDyCjSQvgj6oecM

Dire que ce club a vu passer de tels joueurs...Et quand on voit ce qu'il est devenu....
Bien trop jeune pour avoir connue Zizou, reste YTube pour voir tout cela

Ce joueur restera a Bordeaux avec ce sommet que constitua le fameux et légendaire FCGB-Milan en Europa, Ou nos Girondins renversérent ce soir la une montagne...Jusqu' a aller affronter le grand Bayern en finale....
Les anciens n'ont pas oubliès et il est logique que cette fete a eue lieu a Guichets fermés
Lescure sera a jamais le théatre des plus grands exploits du club, car que dire de la " génération 85" ?!!!!! : De Tigana a Lacombe, en passant par Battiston, Le goléador Dieter Muller et bien sur- petit par la taille- mais sans aucun doute le plus grand joueur de l'histoire du club : Notre Gigi, Giresse - complément idéal de Platini, a une époque ou l'EQ de France ne jouait pas pour " ne pas perdre" mais pour exploser l'adversaire...a ce titre le faramineux Bordeaux -Juve de 1985- demi finale de C1, restera a jamais lui aussi comme un monument, l'une des dix plus grande rencontre de l'histoire de la c1, ou nos gigis firent vaciller ( 3-0- 0-2) sans doute la plus grande equipe de club que l'italie ait connue ( 8 ch du monde + Platini et Boniek), dans une ambiance dont les anciens parles encore, et le record absolu de spectateurs pour Lescure..

Aujourd'hui, sombre équipe de L2, ratissée par des financiers, déglinguée, a l'instar des Verts, obligés pour survivre de vendre les derniers "bons joueurs" qui restent chaque année et de ce fait dans l'incapacitè de progresser, les girondins n'ont plus vraiment d'avenir, sauf a etre rachetés par un " émir de passage", qui certes en ferait- a coup de milliards- une equipe performante, mais dont l'identité, a l'instar du PSG, disparaitrait a jamais..