Pour Iroise (et les autres LOL)

commandertilly écrit:

Efficacité Et élégance à mon goût pour les deux premiers. Mais alors ce Commander, avec les chaussettes pour souligner ses foulées...

Prix d'Amérique 1971... voilà qui ne rajeunit personne ! La qualité des images est ce qu'elle est, mais le large recours à la caméra embarquée permet de voir et de comparer les allures que quelques champions de l'époque. Tidalium Pelo et Vanina B, surtout, qui évoluent un long moment côte à côte. Vanina que l'on connaît aujourd'hui surtout en tant que mère de Jorky fut tout de même une sacrée jument. Dommage qu'une mauvaise blessure ait écourté sa carrière...

Elle était un peu cagneuse, Une de Mai, et Léon la regardait avec les yeux de l'amour... dans cette vidéo de l'INA dont la qualité n'est pas trop mauvaise, un très intéressant ralenti (46" - 1'16") et une jolie fin de course avec la vue des commissaires :

fresques.ina.fr/olonne/fiche-media/Olonne00328/une-de-mai.html

Magnificent Rodney (on n'utilise plus beaucoup la vue des commissaires ; dommage pour nous !) :

L'inénarrable Rapide Lebel, dont Eric Raffin parle souvent :



Rapide à l'entraînement, avec quelques (trop courts !) ralentis :

Greyhound. Là non plus, ça ne rajeunit personne (1935) car il ne s'agit pas du papa d'Ourasi, non ; c'est l'autre. Le seul le vrai fantôme gris. Greyhound for ever, comme le dit le commentateur dans la video . Il y avait lui et les autres... regardez à 2'38".



Hambletonian 1935 :


Pour les anglophones (il ya aussi quelques jolis ralentis) :

JORKY77 écrit: L'inénarrable Rapide Lebel, dont Eric Raffin parle souvent :

Il m’a beaucoup impressionné celui là , par son style , perso j’aime essentiellement les trotteurs qui ont de la tenue et qui vont devant , avec lui on était servi

Muscle Yankee, Hambletonian 1998 :

altratus écrit:





Il m’a beaucoup impressionné celui là , par son style , perso j’aime essentiellement les trotteurs qui ont de la tenue et qui vont devant , avec lui j’étais servi

Ouais ! Bien parti et jamais revu par les copains ! J'ai adoré, moi aussi !

Pour vous, Iroise, Dahir de Prelong, Prix du Bourbonnais 1995.