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Oui ULTRA DUCAL C'est du foutage de gueule ,😠 ça fait longtemps que la priorité de ces joueurs "nantis " est leur parcours personnel au sein de clubs argentés !!!😤😤😤

Match immonde qui nous a fait honte par le comportement des joueurs. Tout y était jusqu'au fanatisme gênant de Margotton.

altratus écrit: ⚽️ France-Israel hier au SDF , 0-0 , une nouvelle fois une purge infâme produite par l’équipe de Didier Deschamps !

La presse :

- France - Israël : Une soirée à vite oublier après cet immonde match nul

- L'équipe de France et Israël nous ont offert un spectacle cataclysmique jeudi soir.

- L’équipe de France a partagé les points avec Israël au terme d’un match absolument désastreux.

Quand est ce que ce cirque va se terminer ? Des audiences en chute libre , un sélectionneur usé jusqu’à la corde , dont les méthodes et les discours ne passent plus , des choix de sélection discutables , des joueurs peu enthousiastes … un spectacle pitoyable

C’est possible ou pas de voir un jour Zidane à la tête de l’EDF pour lui rendre un peu de lustre et d’attractivité ou la fédé va lui faire barrage encore longtemps😤

Les méthodes et discours de DD, en fait, ne sont jamais passées.... Mais 2018 l'as sauvé : il a bénéficié du fait que Griezmann, Kante et consorts étaient a leur top + la révélation de la cométe M'Bappé.... Quand ca gagne - t'as l'immunité.
DD est un enfant de Jacquet et de France 98, qui paradoxalement a tué le foot Francais.
C'est du court terme et Zidane fera EXACTEMENT PAREIL.
Il y'aura un élan au début, les médias parleront de " renouveau", 2/3 perfs...Et puis s'en vont.
Toute cette génération ne peut plus comprendre l'autre.
DD s'accroche après une finale...Comme Domenech après 2006.
Le courant ne passe plus depuis longtemps, mais 2022 l'as une nouvelle fois sauvé de la chute.
Quand aux joueurs, ils font ce qu'ils peuvent, c'est a dire pas grand chose et hormis quelques éclairs de ci de la, il ne faut plus s'attendre a des miracles : d'abord parce que il ya 5 ou 6 selections au monde qui leur sont supérieures, quelque soit le coach, et qu'ensuite effectivement et pour la plupart, ils pensent a autre chose que de briller en selection : Milliardaires a 25 ans, il ne faut surtout pas se blesser, l'immense majorité jouant dans des clubs ou la concurrence est plus que féroce.
Leur employeur n'est pas la fédération.
1998 est passé par la : Ca gagne une CDM, fait unique dans l'histoire, sans attaquants, et sans quasiment attaquer.
Depuis, en Ligue 1, a 1a0 ça a peur et ca se cache... le spectacle en a pris un coup, c'est devenu une marque de fabrique que de gagner du minimum ou d'attendre les pénaltys.
DD n'est que le reflet de ça, Zidane fera pareil : c'est un aveu de faiblesse mais aussi du réalisme : c'est exactement comme cela que font "les équipes faibles" : on mets le bus, on renforce la défense a mort..et sur un malentendu- qui sait on gagne 1a0..Ensuite la porte est fermée.
l'equipe de 2000, flamboyante, ne fut qu'un bel interméde : remplie d'individualités hors norme elle a régnée sur un magnifique Euro, puis, déja, s'est vite éteinte en 2002, sans doute pour les memes raisons qu'aujourd'hui : les égos, les conflits d'interets, des coachs "perdus", et un ras le bol d'une médiatisation a outrance qui fait perdre la tete.
Le cas M'Bappé est tellement criant a ce niveau...

vaut mieux suivre le SB29 en coupe d'Europe

Gribouille29 écrit: vaut mieux suivre le SB29 en coupe d'Europe

Pas pu voir les matchs mais plus sympa surement

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🏈 France - NZ demain , les Blacks , leur maillot porte le deuil de leurs adversaires disent ils , une affiche pour traditionnellement un des sommets du rugby mondial

Historiquement on est plus souvent les perdants , 1er match en 01/1906 , NZ 48 victoires , FR 14 , en Coupe du Monde on est compétitif face à eux 5/3 en leur faveur me semble t’il , le XV de FR est victorieux des 2 dernières confrontations , Galthié sélectionneur invaincu donc face aux Blacks

Notre charnière N1 , Dupont - Ntamack (la meilleure du monde) n’est toujours pas opérationnelle , le fils d’Emile toujours blessé (en reprise actuellement) ce sera Ramos en 10 , Jalibert ayant été renvoyé à Bordeaux , c’est rude pour lui mais il n’arrive pas vraiment à s’imposer , avec des temps difficiles en défense



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Fabien Galthié a tranché ! Pour le deuxième test-match de la tournée d’automne, le sélectionneur du XV de France a communiqué la liste des 23 Bleus qui défieront les All Blacks, samedi soir au Stade de France (21h10).

Sans surprise, Antoine Dupont est bien présent. Le capitaine du XV de France, légèrement malade en début de semaine et préservé, tiendra bien sa place face aux hommes en noir. Il composera la charnière avec son partenaire en club Thomas Ramos. L’habituel numéro 15 est reconduit à l’ouverture, après la belle prestation collective des Bleus contre le Japon (52-12). Comme annoncé, Matthieu Jalibert n’est pas dans les 23. L’ouvreur a été relâché et a fait son retour à Bordeaux.

4 changements par rapport au Japon

Pour coucher son équipe pour le choc, le staff français a dû composer avec un certain nombre de forfaits : Uini Atonio, François Cros, Damian Penaud et Théo Attissogbe n’ont pas pu postuler. De ce fait, en première ligne, Jean-Baptiste Gros, auteur d’une belle performance face aux Nippons, est reconduit, accompagné de Mauvaka et de Tatatu qui va connaître sa 2e sélection. En troisième ligne, l’absence de Cros est compensée par l’arrivée dans le quinze de Paul Boudehent. Le Rochelais a lui aussi tiré son épingle du jeu lors de la rencontre face aux Japonais. Il débutera aux côtés de son capitaine en club Grégory Alldritt, et du Toulousain Alexandre Roumat.

En tout, Fabien Galthié et ses adjoints ont opéré quatre changements dans le quinze de départ par rapport à la large victoire du week-end dernier. Paul Boudehent remplace François Cros, donc, Gabin Villière prend la place de Théo Attissogbe, blessé au genou, Romain Buros est préféré à Léo Barré à l’arrière et Gaël Fickou fait son retour dans le quinze titulaire au détriment d’Émilien Gailleton, sur le banc. Pour le numéro 15 de l’UBB, le duel face aux Blacks sera le premier grand moment de sa carrière internationale. À 27 ans, le Landais est récompensé de ses efforts et aura l’occasion de briller face à l’une des meilleures équipes au monde.

Outre la titularisation de Romain Buros en lieu et place de Léo Barré, qui sort des 23, Fabien Galthié a choisi de replacer Gaël Fickou au cœur des débats. Remplaçant face au Japon, le Racingman aux 90 sélections avec le maillot floqué du coq, sera associé au centre de l’attaque à Yoram Moefana, qui enchaîne. Une décision qui propulse le jeune palois sur le banc, dans une organisation à six avants et deux trois-quarts. Ces remplaçants, parlons-en, car il y a des retours remarqués. Charles Ollivon (44 sélections) et Romain Taofifenua (51 sélections), deux guerriers cruciaux du premier mandat de Fabien Galthié, seront amenés à terminer la rencontre pour apporter leur expérience. Chez les arrières, Nolann Le Garrec retrouve son rôle de demi de mêlée remplaçant et devance Maxime Lucu dans la hiérarchie. Gailleton couvrira, lui, les autres postes en cas de blessure.

Rugbyrama

🏈 Les Bleus renversent les All Blacks après un bras de fer haletant

3ème succès de rang des joueurs de Fabien Galthié face aux Blacks de NZ 👏

Il y a eu beaucoup de bruit et de fureur, ce samedi soir au Stade de France, et l'équipe de France a fait honneur aux 80 000 spectateurs de l'écrin dionysien en terrassant d'un point la Nouvelle-Zélande (30-29), à l'issue d'une partie magnifique, monstrueuse d'intensité et indécise jusqu'au bout. Le match ne s'est pas joué à grand-chose, tant les deux équipes se sont rendu coup pour coup. D'abord dominateurs, les joueurs de l'hémisphère sud ont fini par plier après la pause devant la furia tricolore.

Il n'a pas fallu longtemps aux Bleus pour prendre conscience que ces Blacks-là, forts de leurs récentes victoires face en Angleterre et en Irlande, étaient redevenus de sacrés compétiteurs. Des joueurs agressifs dans les zones de collision, rapides dans leurs enchaînements, solides en conquête et capables, aussi, de châtier leurs adversaires à la moindre erreur.

Il a fallu une étincelle, un éclair pour porter l'estocade. Il est venu d'un ballon volé à l'adversaire, d'un coup de pied en profondeur du génial Thomas Ramos, encore souverain à son poste d'ouvreur et chirurgical dans ses tirs au but (6/6), et d'un sprint rageur de l'ailier Louis Bielle-Biarrey, tellement plus rapide que les deux derniers défenseurs adverses, pour inscrire le troisième essai français (51e). L’Equipe

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Les notes de XV Mondial :
(Des commentaires pas forcément faux mais trop rêches dans l’ensemble)

1 - Jean-Baptiste Gros (6/10) : sorti à la 49ème minute de jeu, le pilier toulonnais a su montrer des choses intéressantes en mêlée.

2 - Peato Mauvaka (5,5/10) : un match commencé au talon et terminé en troisième ligne pour le Toulousain, qui n'a pas été aussi actif que sur le précédent match face au Japon. En difficulté sur la touche, comme tous les autres avants français. Un peu de fébrilité en début de match.

3 - Tevita Tatafu (pas noté) : le pilier de Bayonne est sorti touché au genou au bout de 10 minutes de jeu. Il a été remplacé par Georges-Henri Colombe

4 - Thibaud Flament (5,5/10) : le deuxième ligne toulousain s'est parfois manqué en touche, mais aussi en plaquage

5 - Emmanuel Meafou (6/10) : un peu plus discret que la semaine dernière, malgré quelques démonstrations de force intéressantes. Dans l'avancée, très souvent.

6 - Paul Boudehent (7/10) : encore un essai pour le troisième ligne, très fort au plaquage…le Rochelais monte en puissance. On espère que sa commotion en fin de match ne le privera pas du match contre l'Argentine car il a clairement été le meilleur avant ce soir.

7 - Alexandre Roumat (6/10) : à l'origine de quelques pénalités contre les Bleus. C'était bien mieux en seconde mi-temps, mais le Toulousain a déjà connu mieux.

8 - Grégory Alldritt (5/10) : il se fait voler le ballon par Cam Roigard qui va marquer le deuxième essai néo-zélandais. Il a été remplacé après 48 minutes de jeu et n'a toujours pas retrouvé son meilleur niveau. Copie bien pâle.

9 - Antoine Dupont (6,5/10) : comme Peato Mauvak, il a connu deux postes, les deux de la charnière. Le capitaine des Bleus a rendu une copie plutôt propre. Quelques petits ratés tout de même, mais une bonne activité.

10 - Thomas Ramos (7,5/10) : buteur hors-pair avec un 100% de réussite. Décisif sur les essais de Romain Buros et Louis Bielle-Biarrey. L’ouvreur-arrière a été élu, à raison, Homme du Match.

11 - Louis Bielle-Biarrey (7/10) : au cas où certains doutaient encore de ses capacités de sprinteur, l'ailier bordelais a mis tout le monde d'accord. La preuve sur son superbe essai. Hyper actif encore une fois, il la flèche des Bleus a aussi su sauver plusieurs occasions chaudes pour les Blacks.

12 - Yoram Moefana (4,5/10) : très discret, on n'a quasiment pas vu le centre du match. Une partie à oublier

13 - Gaël Fickou (5,5/10) : le capitaine de la défense était bien de retour, mais il a en revanche été assez discret sur le plan offensif.

14 - Gabin Villière (5/10): l’ailier de Toulon sauve une grosse occasion néo-zélandaise en fin de partie, mais ce n'est pas suffisant pour rattraper quelques gros ratés, notamment sur le premier essai des Blacks

15 - Romain Buros (6,5/10) : idéalement placé pour réceptionner le ballon envoyé par Thomas Ramos, l'arrière bordelais marque un essai qui fait beaucoup de bien aux Bleus, et son premier en sélection. Partie propre dans l'ensemble malgré quelques petites imperfections.

🏈 Thomas Ramos est exceptionnel face aux perches , constant , sa réussite aux pieds pèse sur les succès du XV tricolore

Le jeu au pied salvateur de Thomas Ramos face aux All Blacks

SAINT-DENIS, Seine-Saint-Denis, 17 novembre (Reuters) - T homas Ramos a été l'un des grands artisans de la victoire du XV de France face à la Nouvelle-Zélande (30-29) samedi au Stade de France grâce à la précision diabolique de son jeu au pied.

Auteur de 15 des 30 points des Bleus, le demi d'ouverture de 29 ans a réussi un sans-faute au pied (6/6) en commençant son récital par une pénalité à plus de 50 mètres des perches pour ouvrir la marque (7e).

Il a ensuite transformé les trois essais tricolores avant de ne pas trembler en seconde période sur deux nouvelles pénalités alors que son homologue néo-zélandais, Damian McKenzie, enchaînait lui-aussi les coups de pied entre les poteaux pour essayer de reprendre l'avantage au score.
Sa dernière réussite, à sept minutes du coup de sifflet final, a mis les Tricolores à l'abri en repoussant les All Blacks à quatre unités et permettant ainsi au Stade de France de rugir de bonheur pour savourer un troisième succès de rang contre la Nouvelle-Zélande.

Pour sa 38 sélection, Thomas Ramos a été nommé homme du match et s'est hissé au cinquième rang des meilleurs réalisateurs du XV de France avec 364 points inscrits. Il se rapproche du record détenu par Frédéric Michalak (436 points).

(Reportage de Vincent Daheron)

L'immense carrière de Rafael Nadal a pris fin

Double champion olympique, lauréat de 22 titres du Grand Chelem et de quatre Coupes Davis, la légende Nadal est à 38 ans à la retraite

Le monde du tennis va devoir s’y résoudre : il va désormais falloir faire sans une de ses légendes. L’immense carrière de Rafael Nadal a en effet pris fin mercredi à Malaga, après une défaite 2-1 de l’Espagne contre les Pays-Bas en quarts de finale de la Coupe Davis.

« Ça ne s’est pas terminé comme on l’aurait tous aimé », à savoir par une qualification de l’Espagne, a regretté le héros du jour lors d’une cérémonie d’hommage qui a commencé par une litanie de remerciements. Mais « je me sens tellement chanceux », a lancé un Nadal d’abord souriant dans une salle debout pour l’acclamer.

Sa voix s’est ensuite brisée sous le coup de l’émotion quand il a remercié sa famille, qui a joué un rôle essentiel dans sa carrière, particulièrement son oncle et entraîneur au long cours Toni Nadal.

Nadal a ensuite reçu les félicitations du gratin du tennis et du sport mondial par vidéo interposée : Serena Williams, Andrés Iniesta, Roger Federer, David Beckham, Novak Djokovic, Andy Murray… A 38 ans, le joueur peut se targuer de raccrocher ses raquettes avec un palmarès impressionnant et d’être définitivement dans la légende la petite balle jaune. 20 Minutes

France - Argentine

🏈 La compo pour le dernier match de la tournée d’automne , les bleus vont essayer de terminer victorieux et donc invaincus

4 changements opérés par F.Galthié , titus: Léo Barré à l’arrière , le titanesque pilier d’origine Néo-Z Atonio (1,97m - 150 kg) rentre , ainsi que Cros le flanker habituel , le grand Charles Ollivon en 8 remplace le cadre Aldritt écarté pour ce match

🏈 France-Argentine

L’EDF gagne 37-23 et termine donc invaincue (3/3) cette séquence traditionnelle de la tournée automnale , avec une nouvelle fois en évidence Ramos la machine à scorer , 100% vs les perches encore hier et magnifique à l’ouverture , en 10 ou en 15 il est indispensable et un véritable maillon fort des bleus , on notera aussi la grosse rentrée du grand (2m) Charles Ollivon , à son top l’un des meilleurs 3ème ligne européens

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France – Argentine. Les Bleus surclassent l’Argentine et terminent en beauté leur tournée de novembre

Après des victoires face au Japon et aux All Blacks, le XV de France voulait conclure cette tournée de novembre sur une bonne note face à l’Argentine, au Stade de France. Mission accomplie, avec une victoire maîtrisée contre des Pumas trop imprécis pour rivaliser (37-23). Supérieurs dans tous les compartiments du jeu, les Tricolores achèvent l’année 2024 sur une prestation aboutie et prometteuse.Vivement la suite!

Il va désormais falloir se résoudre à dire au revoir à toutes ces choses qu’on a tant aimées, au fil de cet automne : ces avant-matchs que le Stade de France n’a pas son pareil pour scénariser ; ces atmosphères fiévreuses, nerveuses, incandescentes qui rendent Fabien Galthié « addict » et que seul le XV de France est aujourd’hui capable de provoquer en ces terres froides ; le toucher de balle de Thomas Ramos, dont le talent à trouver des « 50-22 » est une insulte à tous les autres canonniers du circuit international ; les charges de Paul Boudehent, vivant exemple de ce que peut accomplir la foi du charbonnier sur un terrain de rugby ; ou encore "Manny" Meafou et ses « plaquages positifs », puisque c’est ainsi que les nomme dans une étrange litote le staff des Bleus, quand les qualificatifs d’ « attentat », d’« homicide » ou de « déflagration » colleraient évidemment beaucoup mieux à la façon de défendre du géant toulousain.

Franchement ? C’était beau, c’était bon et ça se termine, finalement, comme cela avait commencé : par une victoire autoritaire, le ravissement d’un stade acquis dans son entièreté à la cause de cette équipe et la joie pure d’un peuple ovale qui n’a jamais semblé aussi vaste, tant il semble aujourd’hui décidé à arracher le rugby à ses frontières traditionnelles, soit du Var au Sud-Ouest…

Avait-on vu ces Pumas trop beaux ?

Ce match ? Il fut en réalité plus rapidement plié qu’on aurait pu le croire au départ. Après dix minutes plutôt neutres, Thibaud Flament attaquait finalement la zone faible de l’Argentine, celle incarnée par l’ouvreur Tomas Albornoz, emportait le joueur de Trévise sur quelques mètres et aplatissait le premier essai de la rencontre. Quelque peu gênés par la débauche d’énergie des Pumas mais globalement supérieurs sur les impacts et en matière de rugby pur, les coéquipiers d’Antoine Dupont marquaient dans la foulée un deuxième essai par l’intermédiaire de Gabin Villière, bien servi sur ce coup-là par Léo Barré, cet arrière encore trop peu serein dans les airs mais sans égal ou presque, dès lors qu’il se décide à remonter le ballon de son immense foulée. Le break, lui, surviendrait donc juste avant la mi-temps, au moment même où les Argentins, dominés sur tous les compartiments du jeu ou presque, écopaient d’un imparable essai de pénalité, conséquence d’une balourdise du troisième ligne Juan Martin Gonzalez dans son propre en-but…

Dès lors, avait-on vu ces Pumas trop beaux ? Ou alors, ce XV de France, directif sans être totalement irrésistible, montait-il de son côté inexorablement en puissance, au fil de ces trois matchs ? Probablement les deux, mon général. Et samedi soir, au moment de tourner le dos au Stade de France, on ne souhaitait finalement qu’une chose : que les trois mois nous séparant à présent du début du Tournoi des 6 Nations se consument aussi rapidement qu’un contre mené par Louis Bielle-Biarrey…

Rugbyrama

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Au Stade De France :
France-Japon 50 000 spectateurs , FR-NZ 80 000 sp , FR-ARG 80 000 sp 🏈🏈🏈🏈🏈🏈👏