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"la remontada française 3-0 contre l'Ukraine en 2013 il me semble!!!!"


on avait fait un match énorme , il n’y a pas l’ombre d’une tricherie là , on peut soupçonner toutes les rencontres alors si celle ci est litigieuse , personne n’a jamais évoqué le moindre doute pour ce match , ce jour là L’EDF était au dessus , meilleure , pas d’autres raisons pour évoquer cette belle victoire , les bleus étaient surmotivés pour la qualif , à la pause on avait rattrapé le retard , restait un pion à mettre pour passer

La main d’Henry oui en effet , les irlandais ont du avoir du mal à avaler la pilule , c’est une erreur arbitrale conséquente

quand on a de l'expérience on ne peut pas classer autrement ce match que de douteux.....2-0 trois jours avant à Kiev dans la boue en étant à la rue complet avec un public et des joueurs ukrainiens remontés comme des pendules et 3 jours aprés une équipe jaune remodelée avec le meilleur joueur de l'aller absent???? et des larves amorphes sur le terrain.
Indice la France appuiera 3 mois plus tard la "révolution" ukrainienne qui aboutira au "merdier"actuel .
C'est mon avis mais beaucoup de connaisseurs ont trouvé ce renversement bizarre méme les maths sont avec moi car la France est la seule nation à avoir renversé une défaite de deux buts ou plus au retour d'un barrage !!!!!
Nous n'ignorons pas que la politique a bien souvent influencé ou commandé le sport !!!

altratus écrit: "Selon moi....la plus grosse escroquerie de l'histoire du foot reste le sacre de 78 des Argentins"
C’était pas mal en effet mais le pire n’est il pas l’Angleterre en 66 ? Leur seul titre, avec des arbitrages litigieux à répétition en faveur des locaux ? Moi je n’ai pas vu mais c’est ce que rapportent les historiens du foot

Non ! Ces histoires d'arbitrage c'est du "pipeau". L'équipe d'Angleterre était très très forte à cette époque et, en 1970, l'Angleterre se présentait à peu près dans la même formation et sans les décisions stupides d'Alf Ramsey* de sortir Bobby Charlton et Gordon Banks, l'Allemagne complètement à l'agonie ne serait jamais revenue au score !
C'est l'Angleterre que le Brésil aurait dû affronter en finale et non pas l'Italie.
* Pour le coup, les "historiens" du sport sont quasiment tous unanimes, c'est bien le sélectionneur anglais qui est responsable de élimination de son équipe lors de cette Coupe du Monde. Et Bobby Charlton aussi...

Sea Bird écrit:

altratus écrit: "Selon moi....la plus grosse escroquerie de l'histoire du foot reste le sacre de 78 des Argentins"
C’était pas mal en effet mais le pire n’est il pas l’Angleterre en 66 ? Leur seul titre, avec des arbitrages litigieux à répétition en faveur des locaux ? Moi je n’ai pas vu mais c’est ce que rapportent les historiens du foot

Non ! Ces histoires d'arbitrage c'est du "pipeau". L'équipe d'Angleterre était très très forte à cette époque et, en 1970, l'Angleterre se présentait à peu près dans la même formation et sans les décisions stupides d'Alf Ramsey* de sortir Bobby Charlton et Gordon Banks, l'Allemagne complètement à l'agonie ne serait jamais revenue au score !
C'est l'Angleterre que le Brésil aurait dû affronter en finale et non pas l'Italie.
* Pour le coup, les "historiens" du sport sont quasiment tous unanimes, c'est bien le sélectionneur anglais qui est responsable de élimination de son équipe lors de cette Coupe du Monde. Et Bobby Charlton aussi...

Je parlais de 66 mais tu réponds en évoquant 70 , on n’est pas sur le même truc là

En 66 l’arbitrage outrageusement maison en faveur des anglais n’est nullement pipeau ou alors tous les journalistes et autres observateurs de l’époque ayant rapporté ces faits se sont trompés , ce dont je doute tant les récits sont unanimes , cela n’empêche pas que les anglais étaient bons à ce moment là

ALTRATUS, je suis contemporain de cette époque, j'ai VU la Coupe du Monde 1966 et l’Angleterre était bien la plus forte il faut le reconnaitre malgré la déception de la finale où, il faut bien dire, toutes les "grenouilles" anglophobes souhaitaient la victoire de l'Allemagne.
A moins de penser que les, Banks, Moore, Ball, Charlton, Hurst et cie étaient des "billes", cette équipe n'a pas eu besoin des arbitres pour gagner le tournoi (et ce malgré l'indisponibilité de Jimmy Greaves !). D'ailleurs personne durant la compétition n'a incriminé un quelconque avantage d'arbitrage. Même le sénile Dominique Grimaud parle de "Coupe du monde truquée" mais pas de l'arbitrage.
Néanmoins, on peut justement avancer que l'Angleterre a bénéficié de la bienveillance de la FIFA (Président l'Anglais Stanley Rous ! ) pour disputer tous ses matches à Wembley. On peut incriminer l'organisation pour favoriser l'Angleterre, mais pas l'arbitrage.
Quant à la comparaison avec l'équipe de 1970...les cadres de l'équipe d'Angleterre étaient les mêmes ! D'ailleurs la FIFA (encore elle) tellement désireuse d'avoir une finale d'exception entre les deux derniers vainqueurs avait placé l'Angleterre et le Brésil...dans le même groupe !
Hélas, Sir Alf Ramsey en a involontairement décidé autrement et, malgré toute la détestation de l'Angleterre que je perçois, je persiste, sportivement l'Angleterre était la plus forte en 1966 (et très très bonne en 1970)...après ça s'est détérioré

Sale temps cet hiver pour les grands noms du foot , après Mario Zagallo et Kaiser Frantz , c’est Gigi Riva qui nous quitte , lui aussi fut l’un des acteurs du fameux mondial de 70 (MZ l’était en temps que sélectionneur à ce moment là)

Alors qu’il évoluait dans les années 60/70 Luigi Riva est toujours aujourd’hui le meilleur buteur de l'histoire de la Squadra Azzura

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MORT DE GIGI RIVA : L'ITALIE PLEURE LA MORT D'UNE LÉGENDE

La Fédération italienne de football (FIGC) a annoncé lundi le décès de Gigi Riva, à l'âge de 79 ans. Le meilleur buteur de l'histoire de la Squadra Azzurra (35 buts en 42 sélections) a été victime d'un malaise dimanche à son domicile. L'ancien joueur de Cagliari a été champion d'Europe avec la sélection italienne en 1968 et a atteint la finale du Mondial 1970.

Giga Riva, légende du football italien, est mort lundi à l'âge de 79 ans, a indiqué à l'AFP la Fédération italienne de football (FIGC). Le meilleur buteur de l'histoire de la sélection italienne avait été victime d'un malaise dimanche à son domicile et était hospitalisé depuis à Cagliari, la ville où il a fait quasiment toute sa carrière de joueur entre 1963 et 1977. "C'est un véritable monument national qui nous a quittés, Gigi Riva incarnait le mythe de l'homme libre et du joueur de football extraordinaire", a indiqué dans un communiqué le président de la FIGC, Gabriele Gravina.

"C'est un véritable monument national qui nous a quittés, Gigi Riva incarnait le mythe de l'homme libre et du joueur de football extraordinaire", a indiqué dans un communiqué le président de la Fédération italienne de football, Gabriele Gravina. "Il manquera beaucoup à notre calcio", a estimé le patron de la Ligue italienne, Lorenzo Casini. La Première ministre italienne Giorgia Meloni a salué de son côté "un grand sportif qui a marqué l'histoire du calcio et de notre équipe nationale".

Sur tous les terrains de football du pays, une minute de silence sera observée avant chaque match à partir de mardi et jusqu'à dimanche, a précisé la FIGC. Ses obsèques devraient avoir lieu mercredi à Cagliari où tous les drapeaux sardes sur les bâtiments publics ont été mis en berne.
Celui qui était surnommé "Rombo di Tuono" (coup de tonnerre) en raison de sa puissance de frappe exceptionnelle, a marqué l'histoire du football italien. Avec 35 buts en 42 sélections, il est le meilleur buteur de l'histoire de la Nazionale et a remporté avec elle le titre de champion d'Europe 1968. Mais c'est lors de la Coupe du monde 1970 au Mexique qu'il a écrit les plus belles pages de sa carrière et du football mondial.
L'attaquant fut en effet aux côtés de Gianni Rivera l'un des acteurs clefs de la demi-finale remportée 4 à 3 par l'Italie face à l'Allemagne, considérée comme l'un des plus grands matches de l'histoire de la compétition. Riva marqua l'un des cinq buts inscrits lors d'une incroyable prolongation qui envoya l'Italie en finale, où elle s'inclina face au Brésil de Pelé (4-1).

164 BUTS EN 315 MATCHES

Né dans le nord de l'Italie, en Lombardie le 7 novembre 1944, sur les bords du lac Majeur, c'est en Sardaigne que Riva s'est fait un nom en inscrivant 164 buts en 315 matches toutes compétitions confondues et en soulevant à trois reprise le trophée de meilleur buteur de Serie A (1967, 1969, 1970). Alors qu'il aurait pu rejoindre des équipes de Serie A plus huppées, Riva est toujours resté fidèle à Cagliari, à qui il a offert en 1970 son seul titre de champion d'Italie, l'un des plus retentissants et inattendus de l'histoire, avant de se briser une jambe la saison suivante.
Après sa carrière de joueur, Riva embrassa brièvement celle d'entraîneur, puis tout aussi brièvement celle de président de club, toujours à Cagliari. Il retrouva ensuite à partir de 1990 son autre équipe de coeur, la Nazionale, cette fois avec le titre de manager général, lors de cinq éditions du Championnat d'Europe et autant de Coupe du monde, dont celle victorieuse en Allemagne en 2006, avant de prendre sa retraite un an plus tard.
S'il n'avait pas la renommée mondiale du Brésilien Mario Zagallo et de l'Allemand Franz Beckenbauer, disparus au début du mois, Riva était selon le président de la Fifa Gianni Infantino "un champion atemporel (...) l'histoire du football est un puzzle qui a perdu l'une de ses plus belles pièces". Eurosport

ALTRATUS : ... c'est en Sardaigne que Riva s'est fait un nom en inscrivant 164 buts en 315 matches toutes compétitions confondues et en soulevant à trois reprise le trophée de meilleur buteur de Serie A (1967, 1969, 1970)...

Ce qui est un véritable exploit dans un championnat d’Italie où, à cette époque, les résultats du dimanche étaient une litanie de 0-0, 1-0, 0-1, voire 1-1 quand le jeu était très ouvert
Oui, un très grand n°9 dont la réputation a souffert de la stérilité du jeu italien .

oui totalement d'accord mais je lui préférais Rivera en Italie

GIGI L AMOROSO, TCHAOOO

En ces temps la, l'Italie et son championnat était le plus fermé d'Europe..En tout point de vue d'ailleurs, car quand une équipe menait 1-0 on pouvait quasiment dire que le match était fini.

Le catenaccio, initié par l'Inter d'Helenio Herrera battait son plein : un jeu basé sur une défense à outrance ..Et des contres fulgurants : savoir plier sans jamais rompre, et à ce jeu les Italiens étaient sans égal.

Etre attaquant dans un tel "bourbier" relevait de l'exploit tant en face " soit on vous piquez la balle, soit on vous explosait le tibia"...et peu avaient LA solution..Parmi eux, un véritable seigneur des surfaces, qui réalisa le prodige d'etre 3 fois meilleur buteur du Calcio : Gigi Riva, natif de Sardaigne, qu'il ne quitta jamais malgré les offres mirobolantes de la Juventus ou des millionnaires lombards..Car si ces derniers étaient prêts à s'attacher coute que coute ses services, ce n'était pas pour rien.

Riva, prototype du " renard des surfaces", plantait 20 buts par an, dans un championnat ou en mettre 10 relevait déja de l'exploit ; Son altruisme, son sens du but, sa constance, en ont fait l'un de ces inoubliables canonnier de l'histoire, qui, s'il avait quitté son club de coeur Cagliari pour des "hautes sphères", aurait un palmarès riches de plusieurs titres continentaux à une époque ou les clubs Italiens régnaient, avec l'Ajax et l'immortel Bayern, sur l'Europe...

Il a donc vite rejoint le Kaiser, autre maitre, mais de la défense celui la, et a eux deux iront défier Cruyff, Maradona, Pelé ou Gerd Muller, dans un monde qui nous rappelle à tous...Que le temps passe si vite..Même pour ces gens immortels.. 

Un peu de chauvinisme …
Je suis un supporter heureux du FCSM (Sochaux).
En juillet 2023, on fermait le centre d’entraînement et le centre de formation de Seloncourt, avec le risque de ne pas le rouvrir, victime des errements d’une Direction de voleurs chinois, suppléés par des opportunistes locaux véreux.
A la reprise, nos joueurs fraîchement arrivés, certains la veille de cette reprise, ne se connaissaient pas, j’ai assisté à un entraînement ou les joueurs s’appelaient « eh toi ! »…
Nous avons sombré sur les premières rencontres de championnat de National avec 3 défaites en 3 matches, 0 but marqué et 8 encaissés…
Mais c’était sans compter sur 4 points :
- Jean-Claude Plessis, l’ex président des années de gloire,
- Pierre Wantiez, le trésorier qui avait été sortis par les chinois,
- un entraîneur de grande qualité Oswald Tanchot,
- un public exceptionnel dont une grande partie a sorti un petit billet pour sauver économiquement le club

Et aujourd’hui : chaque match est un vrai spectacle de football tourné vers l’attaque, et déjà 2 ligues 1 éliminées en Coupe de France.
Allez Sochaux !