Chute Prix Bar le Duc 2018 (Vincennes) - 29/12

C est triste pour le driver et le cheval ,mais je m'interroge à quel moment il a pensé qu'il avait le passage ,il devait reprendre son cheval,il a commis une erreur cela arrive malheureusement,je il souhaite un bon rétablissement.

Eleazar écrit: Qu'est-ce qu'on peut reprocher à G. Gelormini, son cheval n'a plus de gaz. Il aurait dû aller dans la piste de dégagement et prendre une mise à pied de 2 jours pour avoir pris des piquets ?

n'ayant plu aucune chance , qu'est ce qui l'empeche d'abandonner la course et de se retirer dans la voie de dégagement?

CYNASOSO écrit: Très bonne vision des chose Eléazar ,c'est exactement ce qui c'est dis hier a vincennes ,il n'a pas le droit de prendre la piste de dégagement sous risque de sanction et le résultat est la .Ce n'est pas simple tous ca la règle semble bonne pour éviter les divers intèrprètations mais pose problème dans ce cas précis

Je me fais des idées, ou y a-t-il vraiment plus d'accidents depuis l'instauration des nouvelles règles ?

Je n'avais pas vraiment remarqué ca avant cet incident ,mais si tel est le cas il va vite falloir adapté la règle pour l'intégrité des drivers et des chevaux .Dommage car on y voyait plus clair dans les décisions

il n'est pas rare de voir des drivers parqués à 3 nez au vent , retirer leur cheval vers l'extérieur car sentant la course perdue et je ne crois pas que ça donne lieu à sanction ; je ne vois pas pourquoi il n'en serait pas de même côté corde ; si litige il y a les commissaires peuvent convoquer le driver apres course et demander des explications et prendre ou pas une sanction ;

vieux_turfiste écrit: il n'est pas rare de voir des drivers parqués à 3 nez au vent , retirer leur cheval vers l'extérieur car sentant la course perdue et je ne crois pas que ça donne lieu à sanction ; je ne vois pas pourquoi il n'en serait pas de même côté corde ; si litige il y a les commissaires peuvent convoquer le driver apres course et demander des explications et prendre ou pas une sanction ;

Quand tu es cuit à l'extérieur, tu peux te retirer de la course. Quand ça arrive à la corde, en général le peloton sait te passer devant en très peu de temps. C'est d'ailleurs ce qui c'est passé dans cette course juste avant avec le n°10.
Là, il semble que le pilote de Caprice de Lupin ait fait une erreur d'appréciation.

Des gamelles, il y en a quand même beaucoup, certains plaçant le curseur "prise de risques" a un niveau particulièrement élevé.
Il faut sans doute revoir le barème des sanctions et que celles à l'encontre des pilotes responsables en cas d'accident soient bien plus sévères

croisons les doigts pour ce chic cheval qu'est Caprice du Lupin!

Paris Turf - Denis Couvreux sur la touche
Par Gilles POMADE | Publié le lundi 31 décembre 2018


Denis Couvreux avec Caprice du Lupin

Victime d'une chute sévère, samedi à Vincennes, dans le quinté Prix de Bar-le-Duc, Denis Couvreux donne des nouvelles : “J'ai eu la tête de l'humérus du bras gauche cassée en cinq morceaux. J'ai été opéré, je porte une attelle et on m'a dit que j'en aurai pour cinq à six mois en tout. Après, il faut voir avec la rééducation. Mon partenaire d'infortune, Caprice du Lupin, est bien amoché, lui aussi, et il devra observer du repos. Je culpabilise un peu vis-à-vis de lui et j'espère qu'il va bien s'en remettre. Cela tombe vraiment mal car, depuis deux mois, c'était bien reparti pour moi, avec de bons résultats. Je tiens à remercier tout ceux qui se sont occupés de moi, samedi à Vincennes, notamment ma sœur Laura, qui a eu du mal à contenir ses émotions. Ma petite amie, Morgane Blot, présente à Bordeaux au moment de l'accident, a tout fait pour me retrouver au plus vite. Enfin, les nombreux messages et appels de soutien que j'ai reçus m'ont vraiment fait du bien dans ce moment difficile.”

Nous souhaitons un prompt et complet rétablissement à Denis, qui travaille depuis deux ans chez Jean-Paul Marmion.